Exemple de commentaire
Fiche : Exemple de commentaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar petitpedoncule • 8 Novembre 2022 • Fiche • 482 Mots (2 Pages) • 346 Vues
AP-Le commentaire (+ fiche)
Support : sujet EAF-session 2022
1.Une fusion homme/nature
2.Une nature toute puissante et sauvage
3.Une histoire humaine
Rédaction intro:
A l’instar du contexte mondial tragique, le roman du XXème siècle connait une véritable crise. Nombreux sont les auteurs qui rejettent les conventions narratives et expérimentent de nouvelles formes afin de repenser l’écriture romanesque. En 1989, Sylvie germain écrit Jours de colère, un récit prenant place dans les forets du Morvant mais situés dans un passé indéterminé. Notre extrait émane plus particulièrement d’un chapitre intitulé « les frères » dans lequel il est question des neufs fils d’Ephraïm Mauperthuis et de Rainette la-Grasse. En quoi les humains et la nature cohabitent-ils au point de ne faire qu’un ? Premièrement, nous étudierons la fusion entre les hommes et la nature, nous aborderons ensuite la nature toute puissante et sauvage. Nous analyserons dans un dernier temps l’histoire humaine.
(sauter 2 lignes avant 1er §)
1 : Une fusion homme/nature
Sous partie 1 : Hommes et forêts sont mélées
-métaphore « homme des forêts »
-parallélisme « parmi les arbres que parmi les hommes »
-chiasme « ils étaient hommes des forêts. Et les forets les avaient faits à leurs images.
Sous partie 2 : Connaître la nature, comme des animaux
-anaphore « un même chant » puis « un chant »
-anaphore « tous les » l.13/14/19
-énumération « des fruits, des végétaux et des baies sauvages […] des bêtes »
Rédaction partie 1:
Premièrement/ Pour commencer/ Dans un premier temps nous pouvons constater que l’homme et la nature sont en fusion dans cet extrait.
Tout d’abord, les hommes et la forêt semblent mêlés. En effet, la métaphore « homme des forêts » L.1 montre que les hommes ne font qu’un avec la forêt, ils semblent émaner d’elle. Par la suite, le chiasme « ils étaient hommes des forêts. Et les forêts les avaient faits à leurs images » à la ligne 1 prouve qu’ils sont soudés et unis, qu’ils se ressemblent. De même, le parallélisme « parmi les arbres que parmi les hommes » cité à la ligne 11 appuie l’idée que ces hommes cohabitent avec la nature depuis toujours.
Ensuite, les hommes semblent parfaitement connaître la nature, comme le sauraient des animaux. Effectivement/ Pour preuve, l’anaphore « un même chant…un chant »
Rédaction conclusion :
-répondre a la problématique (rappel des grandes idées)
-ouverture
(alinéa) En conclusion/ Pour finir, nous avons établi le lien solide que les neufs fils entretiennent avec la nature. Bien que rude, cette dernière n’a pas de secret pour eux. Les frères abandonnés à leurs sorts, survivent grâce à la foret, s’y insèrent complètement et lui ressemblent. Nous pouvons d’ailleurs rapprocher cet extrait au compte Hansel et Gretel des frères Grimm dans lequel les deux enfants sont livrés à eux même dans la foret.
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