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Culture général, semestre 2

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Par   •  5 Février 2017  •  Cours  •  13 708 Mots (55 Pages)  •  637 Vues

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Toutes les sociétés ont toutes les fois parlée de la sécurité sociale. Ils ont tous eu des pauvres, des malades … dans les sociétés les plus anciennes, la prise en charge de ces personnes sont naturel. Elle relève de la solidarité familiale puisque ces société connaissent des familles élargit. Dans ce cadre, les démunis, malade, …. Sont pris en charge. Un individu n’est jamais isolé sauf s’il le choisi lui mm ou s’il a été bannit de son groupe pour d’acte posé par lui-même. La protection sociale est la protection familiale. Si ce n’est pas le cas, il y a un manquement à l’honneur … si quelqu’un se retrouve isolé (guerre tribal ou toute la famille est décimée) g, dans ce cas-là, la personne est protégé par les dieux, elle trouve refuge dans les temples. D’où l’idée d’abandonné les enfants dont on ne veut pas se chargé dans les temples ou à la porte des temples. Ce sont les dieux qui pourvoiront à leur avenir. Lorsque la société s’organise, lorsque des manifestations étatiques commencent à se produire, on va organiser ce groupe social et la confier pas seulement au groupe familial.

Il arrive que certains groupes sociaux éliminent tous ceux dont on estime qu’ils ne sont pas ou qu’ils ne seront pas de bon élément pour le groupe social. Il présente donc des familiarités qui vont laisser deviner qu’ils ne serviront pas le groupe social. C’est l’eugénisme. C’est le cas à Sparte. Là-bas, au moment de la naissance des enfants, on élimine tous ceux qui présentes soit des malformations physique soit qui ne sont pas ce que sparte attend d’eux (guerrier ou mère de famille). Mais d’autre philosophe comme Aristote, Platon ne trouve pas cette pratique choquante. Mais ces idées sont abandonnées. Ces idées ont repris quelque vigueur car la prolétarisation, la crise économique … le scientifique au 19 ème  s’interroge sur la caractéristique de cette société. La société industrielle est censée représenter le progrès. On ne peut donc pas lui infliger tous ces mots. C’est aussi le moment où on réfléchit su la société avec Darwin, l’origine des espèces. On va donc déduire que la science  pourrait corriger tous cela. Va donc réapparaître cette idée d’eugénisme qui va faire éliminer tous ce qui n’apporte rien à la société. On va se rattacher aux écrit de Malthus (économiste) qui pense que l’accroissement de la pop engendre la pauvreté donc il convient de contrôler cet accroissement de la pop. Au 20ème, dans l’Allemagne nazisme ils ont éliminé tous ceux qui sont malade mentale, malformé, appartenant à des groupes ethniques … ces idées resurgissent de manière périodique. Toutes les sociétés n’ont pas appliqué des pratiques aussi radicales que celle-là. Ils ont prévu des pratiques rigoureuses pour ces personnes qui ont besoin d’aide : les enfants isolés, les orphelins, … si leur prise en charge ne pose pas de problème, la société les prennent en charge. Ce qui a été trop long, c’est l’élimination de ces pratiques. La question des pauvres est un peu différente et rejoint celle des fous. On porte sur ces 2 catégories de la question ambiguë. On a tendance à les retirer du monde des normaux. Leur vision choque donc on a tendance à les enfermer. Ce n’est pas traduit comme une reine mais une sécurité certes à leur profit mais aussi à leur détriment. Cet enferment n’est pas prévu par les textes donc ça se fait d’une manière no satisfaisante.

Les fous, la société a sur eux un regard très complexe car il subsiste une image qui fait pitié mais aussi une image négative. A défaut de ne pas comprendre sur le plan médical, on va la considérer comme étant une punition infligé par les dieux soit par une faute antérieure ou de manière arbitraire. Il faut en prendre soin contre eux même, et contre la société. Il faut l’aider mais au fond, c’est un être malfaisant car au regard du dieu ou des dieux, il purge une peine infligé par les dieux. Toute la législation sera conditionné par se double regard qu’on porte sur les fou. On va demander à la famille de le prendre n charge ou au groupe social. Il faut l’empêcher de nuire à la société et de se nuire à lui-même. Dans les images médiévales, le fou à tjrs un double visage (visage normale, sympathique, et un visage inquiétant, car il est la proie du démon, du diable, un possédé).

C’est aussi le cas du pauvre. Il est perçu d’une manière ambivalente et il y a la distinction entre les bons et les mauvais pauvres. Cette pauvreté est une préoccupation constante car c’est une valeur spirituelle dans la théologie chrétienne. NOUS avons tout au long du moyen valoriser le partage et rejeter la richesse pour la richesse. Les actes de  bien faisances va se multiplier tout au long de l’époque médiévale. On a aussi une certaine valorisation de la pauvreté (les mendiants qui apparaisse au 12ème pour refaire l’enseignement du Christ sur la pauvreté choisissent). Mais il y a aussi les mauvais pouvais pauvre, ceux qui sont valide et capable de travailler mais qui préfère mander ou voler. Celui-là doit être chassé, enfermé, astreint à travailler. Au cœur de la période médiéval, on va se limiter à les cesser de la ville. C’est à l’époque moderne qu’ont commencé à les enfermer et à les mettre au travail. On a une pratique de l’ozone qui est institutionnalisé au point qu’il y ait une société de mandant qui fait l’intermédiaire entre le donateur et les pauvres. On va faire la différence entre bon et mauvais et règlementer le marcher de travail. Les premières réglementations se feront en Angleterre. On mettra en place des structures qui vont à la fois donner du travail au pauvre et les enfermer. De cette manière, on les occupe et ils sont enfermés dans des structures. On va commencer à créer des ateliers de charité qui constitut plus des enferment que des lieux de traitement de la pauvreté. La prise en charge de la pauvre humaine et morale commence à la fin du 19ème. TOUTES LES législations commencent à la 2ème moitié du 19ème.

CHAP I : les prémices de la protection sociale

Cette protection relève de la solidarité familiale et communautaire. C’est la famille élargit, la communauté villageoise qui va prendre en charge ces question la pendant longtemps. Les sociétés ont pris en compte la sécurité des plus faibles. Il y a un système d’entre aide qui va protéger le faible. C’est cette solidarité qui permettra la survie du groupe. Dans les groupe primitif, les individus n’ont pas vraiment d’autonomie car très structuré. La première manif de cette solidarité la plus visible est l’appréhension de la mort. C’est la communauté familiale villageoise qui prend en charge le rythme funéraire à la mort d’un individu. C’est le groupe qui va participer à la prise en charge de ces rite car on met en jeu la cohésion du groupe, c’est important pour le groupe et aussi pour les dieux. C’est le cas à Rome. Ils ont une peur des morts, des morts qui reviennent torturer les vivants. Il respecte donc les rituelles pour apaiser les âmes. Le devoir de protection est une évidence dans la société romaine et ce devoir est défini par l’affinité et le sang. Ce sont l’alliance matrimoniale et affective qui va déterminer cette affection. Rome a pour distribution la protection des plus faible et aussi la protection des esclaves (propriété, ils ont, le droit usufruit sur l’esclave. Mais c’est un être humain. On ne peut donc pas tout à fait traiter un esclave comme n’importe quel objet) au moment de leur mort, on leur accorde les funérailles … mais les esclaves ne vont pas changer de statut. Mais on va tenir compte de leur humanité, on va limiter le pouvoir du maître à l’égard de ces esclaves. Le droit romain va empêcher la maltraitance extrême (jusqu’à les tuer) des esclaves, plus le droit de les abandonner, ni de les livrer au jeu du cirque. O a un début de prise en compte de cette humanité des esclaves. Le droit romain a à la suite d’autre droit de l’antiquité (grec) a créer des instits comme la clientèle qui est une instit juridique. C’est un phénomène commun à ce que sera l’ENS de l’empire romain. Il s’agit de venir en aide à des personnes qui sont dans une situation DDE faiblesse pour diverse raison. Ça peut être des habitants de Rome qui sont dans une situation de pauvreté du fait de la guerre, la maladie …

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