Corpus visage de la folie
Cours : Corpus visage de la folie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Maxime DEMIGNÉ • 25 Avril 2019 • Cours • 893 Mots (4 Pages) • 565 Vues
Bac blanc de Francais Corpus
mercredi 14 novembre 2018 Maxime DEMIGNÉ 1er L
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Nous allons analyser quatre textes écrit par des auteurs au style très différent mais qui ont quand même quelque similitude. Tout d’abord il y’a le poème « Seigneur, je ne saurais regarder d’un bon œil » de Du Bellay, parus en 1558, ce texte appartient au registre satirique. Ensuite il y’a « Fable ou histoire » de Victor Hugo, sorti en 1853, ce texte s’inscrit également dans le registre satirique. Il y’a également le poème de Rimbaud « Le mal », parus en 1870, ce texte est un mélange subtil entre le lyrisme et le satirique. Enfin le poème de Prévert « famille » sorti en 1946, ce poème s’inscrit à la fois dans le registre tragique, et le registre satirique. Malgré un style et des époque différente tout ce texte tourne autour d’une satire de fait historique ou bien de monarchie. Tout ceci nous amène donc à une problématique :
Comment ces auteurs critique et se moque de système qui leurs déplait ?
Dans le premier poème, Du Bellay choisis de porter une critique violente des sujets du rois de différente manière. Tout d’abord il choisit de les bestialiser : « ces vieux singes de cour qui ne savent rien faire » vers 2. En les comparant a des singes, Du Bellay arrive à la fois à les isoler des humains normaux, et à la fois a se moquer, d’eux physiquement et moralement, car un singe n’es pas un animal gracieux. En insinuant qu’ils sont des singes, il les renvois à l’état de simple primate. Dans sa deuxième strophe l’auteur dit qu’ils ne sont que de pale copie du comportement de leurs maitres : « si leurs maitres se moque, ils feront pareil… à minuit le soleil ». Ici il utilise l’ironie, en signifiant que les sujets du roi préféraient mentir que dire la vérité. Et pour finir dans la moquerie, Du Bellay s’adresse à nous directement alors que depuis le début il s’adresse au seigneur : « Seigneur je ne saurais » vers 1. Il choisit dans sa dernière strophe de s’adresser a nous pour porter critiquer ce qui l’énerve le plus : « mais ce qui plus contre eux… ne savent pas pourquoi ». C’est la critique la plus violente de ce poème, car cette fois il ne passe plus par une figure de style. Il les traite directement d’hypocrite.
Pour le second texte, Hugo choisis également de se moquer, mais de manière bien plus fine et subtile que du Bellay. Tout le texte s’articule autour de deux métaphores :
D’abord la métaphore du singe, qui représente un citoyen atroce en soif de pouvoir « un jour, maigre et sentant un royal appétit, un d’une peau de tigre se vêtit » vers 1 et 2. Puis la métaphore de la peau, cette peau symbolisant ici la couronne. Hugo utilise ces deux métaphores brillamment puisque chacun représente une moquerie.
D’abord cette métaphore du singe, signifie qu’un roi malgré sa couronne reste un humain en quête de pouvoir, et qu’il n’est pas tout puissant. La seconde métaphore critique le système monarchique, il dit que chaque couronne portée, devient une sorte de poisson pour le porteur. Ils dits implicitement que la couronne devient faite du porteur un commandité de plusieurs crimes « fit tout ce qu’avait fait la peau qui le couvrait » vers 10.
Le troisième texte es plus directe avec une satire présente dans le titre « le mal ». Rimbaud ne consacre qu’une strophe à la critique, et choisis d’utiliser peindre le portrait d’un roi hypocrite qui ris, alors que la guerre fait rage : « Il est un dieu qui rit au nappes damassées ». Ici Rimbaud utilise la comparaison en le comparant a un « dieu », non pas parce qu’il aime le roi, mais bel est bien pour se moquer de lui, car ces comme ça que le roi se considère.
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