Concept psycho
Fiche : Concept psycho. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Malhaury Abraham • 20 Janvier 2019 • Fiche • 1 680 Mots (7 Pages) • 487 Vues
- PHILOSOPHIE : Les concepts en philosophie 26/10/2018
Ce qui nous distingue du règne animal c'est notre capacité a conceptualiser, a extrapoler, et a comprendre, abstraire la notion des pratiques communes. Cette capacité nous permets de comprendre notre individualité, notre particularité et l’élaboration des paradigme c'est a dire cette représentation, cette vision du monde, et cette pensée qui nous permet d’intérioriser et œuvrer pour l'impact de notre pensée. L'homme est pensée.
Peut-on définir l'homme ?
Dans l'évidence l'homme est plus qu'un objet de connaissance c'est a dire c'est pas un être répétitif, mathématisable ou phénoménalisable. Il est plus que ça. Chacun e nous peut présenter son mode de concevoir l'homme ou même son mode de le conceptualiser. On a la liberté de présenter son propre paradigme.
PLATON
Pour PLATON l’être humain est un vivant qui possède une âme immortelle et un corps mortel. Le corps est comme une espèce de prison ou l’âme est enchaînée. Le monde est mal pris, mal réfléchis, car le corps prive l’âme du vrai, du bien, et du beau. L'ignorance se réduit a l’oubli, la connaissance, mais que le souvenir d'une vie antérieur.
ARISTOTE
L'âme et le corps sont les deux élément de l’être humain qui on besoin l'un de l'autre pour donner l'individu concret et réel. L'âme ne peut pas être sans un corps , elle est dans un corps et elle n'existe pas en dehors du corps. Chez ARISTOTE il n'y a pas de primauté corps/âme mais une complicité et complémentarité.
L’activité de la pensée nous définit essentiellement comme être humains et nous rend semblable aux dieux
Âme et corps font la paire, ils interagissent et se conditionnent mutuellement.
DESCARTE
Qui suis-je ? Je ne suis qu'une chose qui pense, selon DESCARTE l'âme seule pense et le corps assume seul les fonctions vitales. Il reprend a sa façon la division platonicienne bien qu'elle soit de l'ordre méthodologique.
DESCARTE définit l'homme comme un être essentiellement de pensée qui doit conduire son esprit avec méthode et rigueur si il veut accéder a la vérité. L'âme doit chercher prioritairement a connaître la juste valeur de choses en discernant le bien du mal pour conduire les actions de sa vie. La 1 certitude chez DESCARTE pour ce qui concerne l'homme : c'est la pensée.
NIETZSCHE
L'homme a une mission, celle-ci est d’accroître toutes les forces créatrices de la vie qui sommeillent en lui et qui sont sources de dépassement de soi. L’être humain vit dans la méconnaissance de soi, il peut s’étonner comme il peut se décevoir d’où la nécessité et la légitimité de se dépasser et surmonter les obstacles. L'homme est mesure de toute choses c'est a dire chacun de nous peut devenir un surhomme en s'affirmant lui même dans son individualité, qui va au bout de sa différence sans ressentir le besoin de ratification venant de l'extérieur. L'homme est quelque chose qui doit être surmonté. Ceci trouve son fondement dans notre statut d’être éternellement insatisfait d’où cette quête de connaissance de soi.
KARL MARX
On se laisse conditionner par la classe sociale a laquelle on appartient, on partage la même représentation des choses des valeurs et des idéaux « l'individu est l'être sociale. Sa vie est une affirmation de la vie sociale »
Ce qui fait l'homme se sont les conditions de vie économique et sociales. Il faut partir du réel lui-même pour appréhender et comprendre le monde réel c'est a dire la réalité sociale plutôt socio-économique.
Il s'avère que l'individu se caractérise fondamentalement par sa relation a la société, en d'autre termes le concept d'homme abstrait et remplacé par celui d'homme en tant qu'être sociale historiquement déterminé « ce n'est pas la conscience des homme qui détermine leur existence, c'est au contraire leur existence sociales qui détermine leur conscience » la conscience est en quelque sorte un produit sociale et ce que nous appelons fièrement notre propre manière de pensée et ce que nous défendons comme nos propres opinions ne sont en fait que le résultat d'un déterminisme issue de la structure sociale et des conditions de production ambiante.
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