COURS D'ECONOMIE LES INEGALITES SOCIALES
Cours : COURS D'ECONOMIE LES INEGALITES SOCIALES. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar CLERCVICTORIA • 8 Mars 2020 • Cours • 926 Mots (4 Pages) • 536 Vues
III/ Les inégalités sociales
Grace au document étudié, nous avons pu constater que la crise financière, les hausse d’impôts mises en place entre 2011 et 2013, des prélèvements obligatoires comme par exemple les baisses du plafond des allocations familiales, la création d’un taux à 40 % pour l’impôt sur le revenu…ont fait baissé le revenu des riches et par conséquent leur pouvoir d’achat.
C’est l’une des étapes à franchir avant qu’il revienne à zéro, c’est-à-dire leur revenu de base sans les prélèvements d’impôts
Le graphique de variation du niveau de vie annuel moyen entre 2003 et 2013 après impôts et prestations sociales, pour une personne seule en euros montre que par exemple pour les classes aisées le niveau de vie annuel après impôts est de 1680 euros entre les 6eme et 7éme déciles
Pour les classes populaires le niveau de vie annuel après impôts est de 550 entre les 2éme et 3éme décile
Selon l’INSEE, l’écart entre les plus riches et pauvres a évolué de 4 620 euros depuis 10 ans
Cependant, il est à noter que le taux de pauvreté qui est mesuré par rapport au niveau médian a baissé entre 2011 et 2013, en temps de crise le revenu médian baisse et stagne ce qui fait également stagner et baisser le taux de pauvreté.
A l’échelle social les ménages sont considère comme pauvre, ils passent au-dessus du seuil sans que leur niveau de vie ait augmenté.
Malencontreusement 338 000 jeunes ont dû retourner vivre chez leur parents après avoir vécu en logement indépendant, soit 20% de plus qu’il y a 10 ans.
Le niveau de vie augmente en fonction du revenu et du statut, Il est égal au revenu disponible du ménage divisé par le nombre d'unités de consommation
Les inégalités se dégagent des différences de revenu et statut. Sur le long terme elles sont dus par la hausse des revenus et par la baisse des revenus des plus faibles.
Nous avons accès à des exemples d’inégalité croissante sur le long terme grâce au graphique qui montre le rapport entre niveau la vie moyen des 10 % les plus riches et celui des 10 % les plus pauvres, Par exemple en 2006, il est de 6,6%
Le revenu annuel moyen par unité de consommation dans les quartiers prioritaires représente 56 % du revenu national
Toutefois des aides sociaux comme les minimas sociaux et les allocations ont permis de venir en aide aux plus démunis, il s’est donc produit une hausse de 4,8 % en 1 an selon Drees, le ministère des affaires sociales et de la Santé. En prenant en compte les conjoints et enfants à charge, 10,9 % de la population était couverte par les minimas sociaux
Seulement cela reste insuffisant car il reste encore beaucoup de pauvre.
Ceux qui sont le plus pénalisé sont :
Les habitants des anciens quartiers
Les prioritaires de la politique de la ville
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