Étude linéaire de la laitière et le pot au lait

La Fontaine est un Fabuliste populaire au XVIIème siècle, il est l’auteur de nombreuse Fables. L’auteur ayant des difficultés financière, dû écrire des fables, selon son protecteur. Au milieu du XVIIème siècle, où le théâtre au centre, emmerge, Jean de La Fontaine qui compose 3 receuils de fables, qu’il compose sur un bon nombre d’années. La Fontaine fait une œuvre critique en dénonssant certains dysfonctionnement de la monarchie absolue. Le premier receuil est destiné à la favorite de Louis XIV, ce changement de destinataire implique de toucher un public différent. Ce 2nd receuil se caractérise aussi par sa diversité, et par ses visée philosophique. Les Fable de La Fontaine sont 3 recueils de 4 livres composés de fable. Dans chaque fable, on retrouvait principalement deux choses : une mise en scène avec des animaux (ce qui lui sert d’allégorie) et une morale. La Fable qui est portée à notre étude, elle est composé de vers héténométrique et des héténométrique et des passage en discours direct. Cette fable ne met pas en scène les animaux, mais une jeune paysanne, une laitière qui se rendant en ville, rêve à tout se qui elle pourait faireet gagner : Elle se laisse gagner par son imagination mais la réalité lui enlèvera tout espoir de faire fortune.Nous étudierons l’une des fables du livre Septième : « la laitière et le pot au lait (fable IX). Ce texte est lié du second recueil destiné à la comtesse, il a donc une portée philosophique. Il serait alors opportun de se demander. En quoi l’imagination peut être une puissance à la fois trompeuse et créatrice. Nous nous interesserons d’abord au rôle de l’imagination dans le récit {vers 1 à 29} Puis nous nous attarderons sur la morale {vers 30 à 43}.

Conclusion : Nous avons vu que l’imagination à servis à Perrette pour qu’elle puisse s’évader de la réalité. Mais cette imagination l’a entrainé à la chute. La Fontaine ne s’exclue pas de l’imaginaire de Perette. Dans cette fable La Fontaine nous raconte une histoire savoureuse à des fin dydactique pour plaire et instruirre. Je pose même dans cette fanle un regard attendri que chaque homme éprouve quand il se laisse aller ci le rêverie où l’imagination. Mais cette faculté si douce soit elle est cependant porteuse d’erreur, et fausse notre rapport au réel.  Le 17ème siècle s’intéresse à l’imagination et un philosophe comme Descartes s’y intéresse et la voit de manière négative. Pour Pascal l’imagination est aussi quelque chose dont on doit se méfier. Même si la morale de cette fable semble rapprocher la Fontaine de pascal pour qui « l’imagination est maitresse d’erreur et susceptible d’écarter tout individu de l’idéal de l’honnête homme mesuré en toute chose, elle est aussi créatrice de très belles histoires qui permettent à l’homme de penser. »

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