Étude de l'illustration « Am I not a man and a brother ? » de William Hackwood
Note de Recherches : Étude de l'illustration « Am I not a man and a brother ? » de William Hackwood. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar sps30600 • 6 Avril 2013 • 361 Mots (2 Pages) • 1 236 Vues
Cet homme vit en solitaire dans le val d'Anduin et possède la capacité de se changer en ours. Il offre le gîte à Thorin et à ses compagnons durant leur voyage vers la Montagne solitaire, puis réapparaît durant la bataille des Cinq Armées où son intervention décisive permet la défaite des gobelins. Il devient par la suite seigneur du val d'Anduin, régnant sur le peuple des Beornides (Beornings), et meurt à une date inconnue, avant les événements relatés dans Le Seigneur des anneaux, la suite du Hobbit.
En partie inspiré des berserker de la mythologie nordique, Beorn est une figure double, à la fois sauvage et amical, violent et casanier, qui préfigure d'une certaine manière Tom Bombadil tel qu'il apparaît dans Le Seigneur des anneaux.
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« Am I not a man and a brother ? », illustration du célèbre médaillon anti-esclavagiste dessiné par William Hackwood ou Henry Webber pour le compte de Josiah Wedgwood, vers 1787.
L’abolition de l'esclavage est, au Royaume-Uni, un processus particulièrement précoce qui trouve son aboutissement en 1833. Il s'explique notamment par l'émergence dès la fin du XVIIIe siècle d'un puissant mouvement abolitionniste, notamment dans les milieux non-conformistes. Ces sociétés visaient, dans un premier temps, à abolir uniquement la traite, en escomptant que son abandon entraînerait le dépérissement progressif et graduel du système esclavagiste fondé sur elle. La propagande très efficace diffusée par ces sociétés abolitionnistes rencontra un écho certain au sein de l'opinion publique britannique, écho concrétisé dans la production de pétitions spectaculaires comme les affectionnaient les milieux radicaux britanniques de cette époque. Ces pétitions étaient ensuite présentées au Parlement pour appuyer l'action de ceux de ses membres qui militaient pour l'abolition, tel William Wilberforce.
L'abandon de la traite fut obtenu en 1807, celui de l'esclavage lui-même en 1833, notamment grâce à l'action de l'Anti-Slavery Society. Cependant, dans le souci de préserver l'équilibre économique des colonies antillaises britanniques, la loi opta pour une sortie graduelle de l'esclavage. Ainsi, pendant une période, variable selon les catégories d'individus, d'« apprentissage » de la liberté, les esclaves devaient fournir un travail non rémunéré à leur ancien maître. L'émancipation définitive et généralisée n'intervint que le 1er janvier 1838...
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