Texte Sur La Femme Parfaite

Aujourd’hui, je suis sorti de ma demeure pour aller avouer mon amour à une jeune demoiselle. Je la connais depuis quelques jours, car elle a déménagé près de mon domicile. Je ne lui ai pas encore demandé son prénom. Cependant, elle a volé mon cœur grâce à sa personnalité attachante et sa beauté éblouissante. En d’autres mots, je suis éperdument amoureux d’elle. Je lui ai proposé un rendez-vous au parc. C’est pourquoi je marche vers ce terrain gazonné avec une magnifique rose à la main en espérant qu’elle l’accepte.

Je l’ai aperçue assise sur un banc. Elle parlait amicalement avec les enfants qui étaient dans le parc. Elle semblait être très préoccupée par le bonheur des autres ce qui la rendait si sympathique et attentionnée. Elle était courtoise et timide. En effet, elle avait aussi une très grande affection pour les jeunes enfants. Je me suis arrêté pour observer cette beauté qui attirait si facilement mon regard.

Son visage, parfaitement rond, comportait un petit nez court et des yeux en amande de couleur bleue comme l’océan. Ses brillants yeux envoyaient une telle lumière qu’ils ressemblaient à deux étoiles. Elle avait des joues si douces qu’elles me donnaient envie de lui faire un baiser. Un sourire chaleureux se présentait sur ses belles lèvres pulpeuses et sensuelles qui laissaient apparaitre des dents d’un blanc étincelant. Son front avait un aspect plutôt lisse et une forme un peu bombée. Ses cheveux dorés paraissaient soyeux et luisants. Je désire tellement passer ma main dans cette flamboyante chevelure bouclée.

Je ne suis pas arrivé à la quitter des yeux, car ce n’est pas seulement son visage qui m’a séduit. Elle était accoutrée d’une robe rouge écarlate qui lui arrivait aux genoux. Sa somptueuse robe était assez moulante pour que l’on puisse voir la forme de son corps presque parfait. Son cou paraissait délicat et gracieux. Elle avait le dos droit et les épaules larges. Elle n’était pas grande. Ses talons hauts faisaient en sorte qu’elle paraissait moins petite. Elle n’était pas très musclée, mais son ventre plat nous démontrait qu’elle était une femme en santé. Sa belle poitrine semblait ferme et très provocante. Ses hanches étaient rondes et bien sculptées. Elles avaient des bras potelés et des jambes fines. Je ne suis pas un épicurien, mais je n’ai jamais contemplé une telle beauté aguichante auparavant. En vérité, cette femme avait été créée pour être admirée.

J'ai continué à marcher et je me suis assis à côté d’elle. Avant même de lui adresser la parole, je lui ai tendis la rose. Elle l'a pris dans ses mains et a rougi. J'ai demandé son prénom et elle m'a répondu : « Je m’appelle Robert. »

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