Science sans conscience n'est que ruine de l'âme
Rapports de Stage : Science sans conscience n'est que ruine de l'âme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Loldu31 • 7 Mai 2013 • 1 049 Mots (5 Pages) • 1 921 Vues
Science sans conscience n'est que ruine l'ame
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Nombreux sont les poètes qui se sont emparés de leur plume afin d’exprimer leurs maux, à l’instar de Guillaume Apollinaire qui écrit dans son poème « tristesse d’une étoile » : « Et je porte avec moi cette ardente souffrance ». La souffrance est-elle nécessaire au poète pour écrire ses poésies ? La poésie naît-elle toujours de la douleur éprouvée par le poète ou peut-elle avoir d’autres sources ? Nous verrons dans une première partie que la poésie peut naître de lasouffrance, puis nous montrerons dans une seconde partie que le poète peut trouver d’autres sources d’inspiration.
I – Certes, la poésie peut naître de la souffrance …
A) Chanter sa souffrance
Les poètes chantent souvent leur peine et leurs poèmes retracent leur trajectoire biographique (« Frappe-toi le cœur, c’est là qu’est la poésie », Musset). Ex : dans « Demain dès l’aube », Hugo exprime sa peine d’avoir perdu se fille Léopoldine. Les poètes chantent d’autant plus facilement leur peine que leur sensibilité artistique les met souvent au ban de la société, les exclut, et les plonge dans le tourment. Ex : dans « L’albatros », Baudelaire évoque la grandeur et la misère du poète.
B) Chanter la souffrance
Par l’expression de leur souffrance, les poètes parviennent à émouvoir le lecteur, qui se reconnaît dans l’expression de sentiments universels. Ex : sentiments de mélancolie : « Tristesse d’uneétoile » ; sentiment d’inquiétude face au caractère inéluctable de la mort : Ronsard, « Je n’ai plus que les os. »
Nombreux sont les poètes qui se sont emparés de leur plume afin d’exprimer leurs maux, à l’instar de Guillaume Apollinaire qui écrit dans son poème « tristesse d’une étoile » : « Et je porte avec moi cette ardente souffrance ». La souffrance est-elle nécessaire au poète pour écrire ses poésies ? La poésie naît-elle toujours de la douleur éprouvée par le poète ou peut-elle avoir d’autres sources ? Nous verrons dans une première partie que la poésie peut naître de lasouffrance, puis nous montrerons dans une seconde partie que le poète peut trouver d’autres sources d’inspiration.
I – Certes, la poésie peut naître de la souffrance …
A) Chanter sa souffrance
Les poètes chantent souvent leur peine et leurs poèmes retracent leur trajectoire biographique (« Frappe-toi le cœur, c’est là qu’est la poésie », Musset). Ex : dans « Demain dès l’aube », Hugo exprime sa peine d’avoir perdu se fille Léopoldine. Les poètes chantent d’autant plus facilement leur peine que leur sensibilité artistique les met souvent au ban de la société, les exclut, et les plonge dans le tourment. Ex : dans « L’albatros », Baudelaire évoque la grandeur et la misère du poète.
B) Chanter la souffrance
Par l’expression de leur souffrance, les poètes parviennent à émouvoir le lecteur, qui se reconnaît dans l’expression de sentiments universels. Ex : sentiments de mélancolie : « Tristesse d’uneétoile » ; sentiment d’inquiétude face au caractère inéluctable de la mort : Ronsard, « Je n’ai plus que les os. »
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