Résumé : Thérèse Raquin

Titre, nom, auteur : Thérèse Raquin, d’Emile Zola.

Date de Parution : Publié en 1867. (Il s’agit du troisième roman de cet auteur)

Courant littéraire : Le naturalisme (mouvement qui s'inspire des postulats, des théories ou des

méthodes des sciences expérimentales, XIXe siecle.)

Biographie et bibliographie rapide de l’auteur : Né à Paris le 2 avril 1840, Émile Zola

passe son enfance à Aix-en-Provence. Il entre en 1858 au lycée Saint-Louis, mais échoue au

baccalauréat. Il entre en 1860 à la Librairie Hachette, où il sera chef de la publicité de 1862

à 1866. Il y fait la connaissance de nombreux écrivains et journalistes, et publie ses premiers

contes, articles et romans.

Son premier roman, La Confession de Claude paraît en 1865. Puis Emile Zola publie

successivement Le Vœu d’une morte (1866), Thérèse Raquin (1867), Les Mystères de Marseille

(1867), et Madeleine Férat (1868). Zola épouse Alexandrine Meley en 1870. C'est en 1871

qu'il commence à ecrire les romans des Rougon-Macquar qu'il va achever en 1893. Il publie

La Fortune des Rougon et La Curée (1871), Le Ventre de Paris (1873), La Conquête de

Plassans (1874), La Faute de l’abbé Mouret (1875), Son Excellence Eugène Rougon (1876), et

L’Assommoir (1877). Le succès permet aux Zola de s'installer. Zola publie Nana , Pot-Bouille

(1882), Au bonheur des dames (1883), La Joie de vivre (1884), Germinal (1885), L’Œuvre

(1886), La Terre (1887). En 1888, Jeanne Rozerot, devient sa seconde compagne, et lui donne

deux enfants. Zola achève ainsi Les Rougon-Macquart ave Le Rêve (1888), La Bête humaine

(1890), L’Argent (1891) La Débâcle (1892) et Le Docteur Pascal (1893). Il est ainsi présenté

comme l’un des plus grands auteur naturalisme de l’époque. Il entame deux autres cycles

romanesque après les Rougon-Macquar : le cycle des Trois Villes (Lourdes, 1894 ; Rome , 1896 ;

Paris , 1898), et celui des Quatre Évangiles (Fécondité , 1899 ; Travail , 1901 ; Vérité , 1903 ;

notes pour Justice ).

Zola passera la dernière partie de sa vie concerné par l’affaire Dreyfus, ou il publiera d’ailleurs,

dans L’Aurore « J’accuse… ! » qui le condamnera a un an de prison. Le 29 septembre 1902,

il meurt asphyxié, chez lui, à cause d'une cheminée bloquée. La thèse de l’assassinat n’est pas

totalement mise a l’écart, étant donné le nombre d’ennemis qu’avait

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