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Organisation Et métaphore

Rapports de Stage : Organisation Et métaphore. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  16 Décembre 2012  •  749 Mots (3 Pages)  •  1 250 Vues

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Changements à faire

Information/ connaissances centralisées

SI mal exploité

Charles est le cerveau central/indispensable

Pas de mémoire organisationnelle, pas de mécanisme pour gérer cette mémoire : les informations sont indissociables des personnes

SI : ambition de décentraliser les informations

Cerveau holographe

Pas de vision, de culture pour créer ``le tout dans toutes les parties``

Monopole de la connaissance et de l’apprentissage détenu par Charles

Prévoir la relève et des mécanismes de polyvalence

Le système informatique peut créer une certaine redondance

Limites à la standardisation : ne pas éteindre l’innovation

Importance de la formation (pas juste sur les systèmes informatiques

Autres sources

L’organisation comme un cerveau » | L’organisation traite de l’information qui lui parvient de l’extérieur. Elle transmet des impulsions aux organes : la direction agit comme le cerveau et donne des ordres aux services qui agissent. |

Autres sources

Le cerveau constitue une des 8 « images (ou métaphores) de l’organisation » de Gareth Morgan

L’organisation est vue comme un cerveau qui traite de l’information. A ce titre, c’est un système de décision, de communication et d’information.

Cette image repose sur :

1 – L’approche de la prise de décision selon le modèle de rationalité limitée. Herbert Simon et James March développe le modèle de la poubelle.

«L’art de gouverner ressemble plus au jardinage qu’à l’ingénierie, à la cueillette qu’à la chasse». Cette formule de James March, un rien provocante, illustre bien la démarche de son auteur : montrer comment les organisations et les institutions fonctionnent dans la réalité, et non pas comme le voudraient les mythologies en cours dans le milieu des dirigeants. Ainsi, le jardinier admet l’idée que son travail est soumis à des forces externes (celles de la nature) qui le dépassent, il accepte de ne pouvoir totalement planifier ses tâches et sa production, ce qui ne l’empêche pas d’essayer de semer au bon endroit et au bon moment.

2 – L’analyse du rapport entre incertitude, traitement de l’information et conception de l’organisation (Galbraith).

3 – La distinction entre apprendre et « apprendre à apprendre ».

Les principes :

• Construire le tout dans les parties. On va trouver : la culture d’entreprise avec ses codes culturels, ses systèmes d’information (et intranet) comme l’intelligence en réseau de l’entreprise, organisation en tant que structure (organisation matricielle) et les fonctions transverses.

• Importante de la redondance. Ce sont les concepts de connectivités, les informations

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