Le marché des cosmétiques
Cours : Le marché des cosmétiques. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mariama975 • 7 Janvier 2013 • Cours • 1 183 Mots (5 Pages) • 776 Vues
De nos jours, le marché des cosmétiques est un marché particulièrement florissant. De nouvelles firmes voient le jour et s'introduisent sur ce marché en croissance
L’oreal vend des produit de la grande consomation
Mais chaque continent a une culture propre qui suffit à déterminer en partie les habitudes de consommation des individus en matière de maquillage. De ce fait, les grandes entreprises développent de nombreuses filiales à l'étranger pour s'adapter aux attentes des consommateurs étranges.
Cependant, si la diversité des cultures est une richesse pour la population mondiale, elle est aussi d'une grande complexité pour les entreprises qui doivent appréhender au mieux ces nouveaux marchés en adaptant leurs produits aux contraintes culturelles présentes depuis des lustres.
l'Oréal tout d'abord parce que c'est un groupe au rayonnement mondial qui a une image particulièrement attrayante.
se qui deviendra le groupe l'Oréal. Cette entreprise démarre avec une dès premières teintures pour cheveux qu'il formule, fabrique et vend aux coiffeurs. Eugène Schueller construit donc le premier maillon de ce qui fait toujours l'ADN de l'Oréal: La recherche et l'innovation au service de la beauté.
«L'Oréal renoue avec son niveau de rentabilité d'avant la crise» (Jean-Paul Agon)
Lesechos.fr • Le 25 août 2010
JEAN-PAUL AGON, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE L'ORÉAL
Le directeur général de L'Oréal se dit confiant sur le reste de l'exercice malgré un environnement encore incertain.
PROPOS RECUEILLIS PAR DAVID BARROUX ET DOMINIQUE CHAPUIS
Comment expliquer la nette amélioration de la rentabilité de L'Oréal sur ce premier semestre ?
Il y a beaucoup d'éléments très positifs sur ce premier semestre, aussi bien en termes de croissance que de résultats. L'Oréal a retrouvé une rentabilité record qui s'est établie à 17,3% du chiffre d'affaires, contre 15,7% sur le début 2009. C'est le niveau que le groupe avait atteint au premier semestre 2008, juste avant la crise, un niveau de rentabilité semestrielle historique.
Ce résultat s'explique par les décisions stratégiques prises depuis deux ans, avec des efforts très importants dans le domaine industriel, notamment en termes de gains sur les achats et de productivité, et la chaîne logistique. Efforts qui se sont traduits par une forte amélioration de la marge brute, en progression de 110 points de base.
Ce contrôle des coûts a aussi permis une réduction très sensible des frais commerciaux, en recul de 100 points de base. L'excédent ainsi dégagé a été réinvesti dans les moyens moteur du groupe, c'est à dire, la publicité, les promotions, la formation des coiffeurs... bref, tout ce qui est mis en oeuvre pour la commercialisation des produits. Au total, ces résultats sont en forte progression, à la fois en valeur et en qualité.
En termes de ventes, L'Oréal a toutefois moins progressé au deuxième trimestre qu'au premier ?
Il s'agit d'un effet de base plus difficile. La dynamique de croissance est là. Nous avons la chance d'être sur un marché des cosmétiques qui est redevenu porteur en 2010, avec une progression de l'ordre de 4% au niveau mondial, contre 1% l'an dernier.
Cette hausse a été tirée sur le premier semestre par les nouveaux marchés qui représentent désormais plus de 50% du marché total. La très bonne nouvelle de ce début 2010, c'est qu'en Chine, en Inde, en Russie… etc, la consommation est fortement repartie. Or, L'Oréal a gagné des parts de marché sur tous les continents, surtout dans les marchés émergents, Asie, Europe de l'Est et Amérique latine, et légèrement en Europe où nous sommes déjà très présents. Ce qui s'est traduit par une croissance organique de 6,3%.
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