Le Marché Des Organes

Grâce aux progrès fulgurante de la médecine et de la technologie la transplantation d'un organe est quelque chose de plus en plus pratiquée. Le nombre de demandeurs augmente de jours en jours. Mais même si le nombre de demandeurs d'organes augmente, celui des donneurs volontaires n'est pas aussi élevé. Nous pouvons également observer, dans plusieurs pays, que beaucoup de personnes vendent une partie de leur corps. Existe-t-il un marché d'organe? Nous répondront à cette question en 2 parties. En un premier lieu nous parlerons du manque de dons d'organes, et nous poursuivrons en deuxième partie avec “l'apparition d'un marché d'organe imparfait”. Enfin, nous conclurons en répondant à la problématique.

Le manque de dons d'organes :

La transplantation d'un organe est devenue une opération routinière. L'organe le plus transporté aujourd'hui est le rein. Aux États-Unis […] 13 700 transplantations de reins ont été pratiquées en 2005. Les profès de la médecin indique qu'un nombre croissant de patients est éligible à la transplantation d'un rein. Dans la grande majorité des pays les transplantations ne sont de fait autorisées que si elles reposent sur le don. Le don est l'action de donner, d'en faire cadeau. Les dons peuvent être d'un donneur vivant ou d'un donneur mort, qui a donné son accord afin qu'on lui prélève des organes post-mortem (après sa mort). Les dons d'organes permettent de pratiquer des greffes qui permettrons à une ou des personnes atteintes d'une maladie, ou dont l'organe ne fonctionne plus (Exemple: reins) d'avoir une meilleure ou bonne santé à nouveau. Mais les donneurs ne sont pas suffisant à la demande d'organes.

En effet, même si 13 700 transplantations de reins aux États-Unis, il y avait 65 000 personnes qui attendaient toujours leur tour au début de l'année 2006. Et on estime à 3 500 le nombre de patients américains qui meurent chaque année faute d'avoir reçu un rein à temps. Nous pouvons donc observer une grave pénurie d'organe. Le prix Nobel d'économie Gary Becker propose de payer les donneurs afin d’accroître l'offre des reins. Cette proposition est perçu comme profondément immorale, car l'idée de négocier le corps humain comme une marchandise fait l'objet d'une véritable “répugnance”. Le cas des organes rappelle ainsi que les marchés sont bornés par des limites morales. Malheureusement ces limites morale peuvent être altérables.

Le marché d'organes “imparfait” :

Selon cette figure éminent de l'école de Chicago, il n'est pas de déséquilibre entre une offre et une demande qui ne puisse être résorbé pour peu que l'on mettre le prix. Le marché des organes permettrai de satisfaire les besoins des autres, sans faire appel à leur vertu. Grâce à cette proposition, cela augmenterait pratiquement de moitié le nombre de transplantations.

Dans certains États la vente d'organe est autorisée, en Inde, et en Iran notamment. De nombreuses personnes pauvres ou criblés des dettes, se réduisent à vendre leurs organes. Mais ce phénomène n'est pas observé en Inde ou

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