Fiche de lecture: Lettres persanes

Présentation de l'oeuvre:

Titre: 𝑳𝒆𝒕𝒕𝒓𝒆𝒔 𝒑𝒆𝒓𝒔𝒂𝒏𝒆𝒔

Auteur: 𝑴𝒐𝒏𝒕𝒆𝒔𝒒𝒖𝒊𝒆𝒖

Date de parution: 𝟏𝟕𝟐𝟏

Lieu de publication: 𝑨𝒎𝒔𝒕𝒆𝒓𝒅𝒂𝒎

Genre: 𝑹𝒐𝒎𝒂𝒏 𝒆́𝒑𝒊𝒔𝒕𝒐𝒍𝒂𝒊𝒓𝒆

Résumé:

Lettres persanes est un roman épistolaire, c'est-à-dire un recueil de lettres écrites (161 lettres) par deux perses à la découverte l'Europe de 1712 à 1720. Au fil de leurs rencontres et de leur découverte du monde occidental, ils échangent leurs impressions, leurs avis et leurs critiques sur la société du XVIIIème siècle. Ainsi, Usbek et Rica, qui se trouvent en France, n'hésitent pas à dépeindre les mœurs, les conditions et la vie de la société française. Rhédi, quant à lui, voyage à Venise. En parallèle de cette correspondance, on lit également celle qu'entretient Usbek avec son sérail, c'est-à-dire ses eunuques et ses femmes restés en Perse.

Avec un style satirique, il ne craint pas la censure de l'époque en émettant ses avis et idéaux car il se pose comme le simple traducteur de lettres trouvées par hasard. Ce n'est pas lui qui parle, ce sont les voyageurs perses. Ainsi, il expose ses idées sur la société occidentale du XVIIIème siècle, mais aussi sur les coutumes qui se pratiquent en Orient, notamment par rapport à l'existence des harems.

Les enjeux:

Montesquieu veut que les français prennent conscience de leurs comportements.

Je pense que Montesquieu veut se libérer de cet vision de la société.

Les thèmes:

Les femmes, le sérail est un premier thème. En effet, Usbek parle de son sérail à plusieurs reprises, il prend de tant en temps des nouvelles avec ses gardes et ses femmes.

La religion est un deuxième thème. Effectivement, l'Iran est un pays islamique donc qui adopte des lois religieuse.

Le pouvoir et le dernier thème de l'oeuvre.

Les deux perses sont surpris de voir que le roi à tous les pouvoirs entre ses mains. Montesquieu est un philosophe des Lumière donc il lutte contre le despotisme.

Quelques extraits:

« Le roi de France est le plus puissant prince de l’Europe. Il n’a point de mines d’or, comme le roi d’Espagne son voisin ; mais il a plus de richesses que lui, parce qu’il les tire de la vanité de ses sujets, plus inépuisable que les mines. On lui a vu entreprendre ou soutenir de grandes guerres, n’ayant d’autres fonds que des titres d’honneur à vendre ; et, par un prodige de l’orgueil humain, ses troupes se trouvaient payées, ses places munies, et ses flottes équipées. »

Encore aujourd'hui, la France est très dépensière.

« Les Français ... enferment quelques fous dans une maison, pour persuader que ceux qui sont dehors ne

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