Communiqué Par L'écrit
Mémoire : Communiqué Par L'écrit. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar qcjozc4rz • 22 Janvier 2014 • 1 098 Mots (5 Pages) • 820 Vues
Rappel : Nous nous sommes déjà intéressés à la communication par l’image (le nom de marque, la signature de l’entreprise, le logo, la typographie, les couleurs, la charte graphique) que ce soit en cours, ou en atelier.
Concernant la communication par l’écrit, nous avons abordés la notion d’énonciation (locuteur/destinataire), l’argumentation, la nécessité de proposer des textes lisibles aisément et ce dans tous les sens du terme ! Nous reviendrons ici sur ce sujet en tentant de l’appliquer à des situations d’entreprise.
En effet, les supports écrits constituent l’essentiel de l’arsenal du communicant de la plaquette institutionnelle au journal d’entreprise.
Communiquer par l’écrit :
I. Les principes essentiels :
Un concept éditorial : tous les supports imprimés ont au moins 3 points communs : le texte, l’image, et la mise en page. Le travers le plus courant consiste à rédiger le texte en 1er, puis à trouver les illustrations et enfin s’intéresser à la mise en page. Le problème est que cela ne correspond pas à la manière dont le lecteur s’approprie le document, au contraire : il perçoit d’abord le document dans son ensemble (forme, structure, présentation). Son regard parcourt et s’accroche ensuite aux éléments visuels (couleurs, photos, dessins, graphiques), puis, il commence enfin à lire (éventuellement !) les textes. Le document doit donc être conçu dans sa globalité en privilégiant la forme et le visuel. Le concepteur se doit d’avoir toujours en ligne de mire l’objectif et les cibles que la publication est censé atteindre. Un document est avant tout un concept. Le texte, une composante visant à le soutenir.
Un processus efficace : ne pas mettre la charrue avant les bœufs ! Les textes doivent être rédigés en fonction d’un espace prévu : s’adapter au gabarit de l’ouvrage, du document. Il en va de même pour les journaux : le rédacteur en chef, une fois les sujets choisis, commande aux journalistes des articles comportant un nombre précis de caractères, pour que ces textes rentrent dans la partie préalablement définie par la maquette.
Des textes informatifs : en communication d’entreprise, les textes doivent rester neutres. L’emphase, les superlatifs, les arguments promotionnels ou publicitaires, acceptables, voire recommandés, pour les supports de vente ou de marketing direct, ne conviennent pas à l’écriture corporate. Le ton doit être informatif, tourné vers le lecteur, évitant toute autosatisfaction.
Des écrits impactés par le web : les règles fondamentales de l’écriture sont identiques pour l’imprimé et le web : être factuel, écrire court, aller à l’essentiel. Le traitement rapide de l’information sur le web a impacté la manière d’écrire sur les supports imprimés, qui aujourd’hui doit être encore plus resserrée, plus interactive, plus contextualisée. N’oublions pas que des textes initialement prévus pour une publication papier, trouvent une 2ème vie sur le web. Il faut donc pouvoir s’adapter.
II. Les outils de la communication par l’écrit :
Le pré-presse et la chaîne graphique : voir cours antérieurs et stage en imprimerie.
La plaquette institutionnelle : elle a pour vocation de valoriser l’activité et les acteurs de l’entreprise. Elle permet de tenir un discours homogène sur la société et de laisser une trace crédible, argumentée, qui contribuera à établir une relation de confiance. Elle précise la vocation de l’entreprise u de l’institution, mais aussi ses axes de développement. Enfin, elle a pour but d’informer sur la structure financière de l’entreprise, son mode de fonctionnement et son équipe dirigeante.
La plaquette offre une identité visible et tangible à l’entité abstraite que représente une entreprise, en illustrant sa stratégie, son activité.
Précautions à prendre : ne pas ajouter de note luxueuse si cela ne correspond pas à l’image de l’entreprise ou au secteur d’activité. Ne pas oublier
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