Gustave Flaubert, l’éducation sentimentale (1864) | André Breton, « le surréalisme et la peinture » (1928) | Sigmund Freud, psychopathologie de la vie quotidienne (1901) | Franz Kafka, la Métamorphose (1912) |
- Scène de première rencontre
- Rupture avec la terre ferme / scène de bateau sur la seine
- Rupture par la beauté par opposition à la médiocrité ou à la laideur ordinaire (décor /femme [vêtement corps] sensualité/ sacralité)
- Réalisme → tableau d’extérieure (eau, nature en lumière, présence humaine)
- Extraordinaire que permet le monde liquide : remonté vers l’amont
- Extraordinaire associé au mouvement : eau / bateau / paysage
- Extraordinaire : absolu plénitude et abstraction de tous les points négatifs : extase
- Aventure de par le voyage et psychologiquement avec l’aventure amoureuse
- Aventure à contre-courant
- Rupture morale : curiosité ; fascination, chasse, désir, jouissance
- Rupture dans la chute : amour impossible ou clandestin car femme marié
- Titre du roman, valeur de programme, L’éducation sentimentale.
- Rencontre : l’autre sexe avec l’absolu possible avec le sacré qui reste dans l’humanité
- L’extraordinaire comme instant
- Expériences de la passion : densité de la vie privée, de la vie affective, de la vie physique
- Par opposition à la vie publique, sociale, au positionnement social
| - Le surréalisme est essentiellement rupture morale esthétique et comportementale
- L’extraordinaire, au cœur de ka quête surréaliste
- Sur-réalisme = extra-ordinaire
- Œil en autonomie formule/ utopie
- Libre de tout préjugé
- Moyen d’échapper à l’interprétation routinière du réel
- Regard en décalage : effet de surprise, de désaccoutumance, de choc
- Faire reconnaitre l’outil pour faire taire la conscience, le pilotage automatique (surréalisme par excellence)
- Du voir au donner à voir : œuvre picturale.
- Peinture = image, métaphore, sans comparé.
| - Dans notre langage, dans nos actions, dans notre quotidien maitrisé, rationalisé, automatisé, survient un accident involontaire
- La rupture et l’extraordinaire, c’est-à-dire le moment marginal, ne sont pas des hasards absurdes : l’extraordinaire est un langage
- L’acte manqué mérite d’être défini : acte frontière, une limite, rapidement perçu et analysé, inhibition passagères et rassurante.
- Le normal, le réglé, le bienséant, le répétitif, le quotidien rationnel ne nous apprend rien sur nous-mêmes par opposition, l’extraordinaire qui jaillit de nous est vérité imaginaire ou inconsciente
- L’extraordinaire est la seule introspection qui vaille
- Enigme puis récupération rassurante de l’extraordinaire qui devrait nous pousser à aller plus loin
| - Fiction fantastique + Parabole / Apologue
- Extraordinaire négatif / brutal : retour au règne animal
- Extraordinaire réel, lecture qui crée un pacte tout de suite accepté : fantastique : le titre de la nouvelle nous décale, nous introduit dans une autre dimension
- Rupture, dédoublement de la BETE et de l’HUMANITE
- Corps animal // Psychisme humain : dichotomie / dualité / qui accentue une conception artificielle de l’homme
- Corps matière animalité
- Esprit pur intellect
- Qu’apprend-on dans la malédiction du héros ?
- L’extraordinaire est e hasard situation Kafkaïenne
- Sans causalité, de hasard, définitive, irrémédiable, victime ou héros sans explication
- L’extraordinaire échappe au sens dasn tout les textes on remarque, mise ne écheque les grilles habituelle d’interprétation les préjugé = ordinaire
- La monstruosité (extraordinaire négatif) et très vite accepté
- Elle ne suscite pas la révolte, n’est pas remise en cause
- Parabole apologue (morale) éthique : le monstrueux, ce n’est pas la métamorphose (fiction) mais la soumission, l’acceptation de l’inacceptable.
- La moral est qu’il y a un extraordinaire psychique. C’est une réaction contraire à un processus rationnel.
- La victime qui se métamorphose en coupable (contre logique Kafkaïenne)
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