Management de Luigi Mancini, dirigeant d’une entreprise familiale
Étude de cas : Management de Luigi Mancini, dirigeant d’une entreprise familiale. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Jennifer Robert • 2 Janvier 2017 • Étude de cas • 631 Mots (3 Pages) • 1 168 Vues
1 : Le style de direction de Luigi Mancini dirigeant d’une entreprise familiale est paternaliste. Car il accorde une confiance limitée à ses subordonnés. Il est maître de c’est décisions prises, malgré le fait que dans l’entreprise qu’il soit direct et méfiant celui-ci reste proche avec ses employés, il reconnait les éléments de valeurs au sein de son entreprise et ainsi il les récompense.
2 : D’après le philosophe et professeur américain R.Edward Freeman une partie prenante est un individus ou un groupe d’individus qui peut affecter ou être affecté par la réalisation des objectifs de l’entreprise . On distingue donc deux parties les parties prenantes internes qui inclue le dirigent et ses employés et les parties prenantes externe qui comprend les fournisseurs, les clients.
- Parties prenantes interne : les salariés qui sont membre de la famille et les salariés non membre de la famille qui sont touché directement par la crise financière que traverse l’entreprise.
- Parties prenante externe : Les clients et fournisseur reconnaissent le positionnement et la qualité de ma marque mais on de mauvais rapport avec le dirigent de la société. Les conflit permanent avec le gestionnaire du port de Marseille l’activité de l’entreprise est contrôlée.
3 : Selon l’analyse de Cyert et March, les entreprises sont constituées de groupes d’individus ont des attentes des attentes différente malgré le même intérêt porté à l’entreprise. On distingue ainsi plusieurs groupes, au sein de Navmed :
- Le dirigeant qui cherche à bâtir un patrimoine et ainsi le transmettre car c’est une entreprise familiale et montrer sa réussite sociale.
- La famille du dirigeant il sont dominé par la personnalité du dirigeant.
- Ces collaborateurs
- Les autres salariés qui ont pour objectif préservé leurs emploie ainsi qu’une stabilité.
Leurs intérêts sont divergents et cela se manifeste par des comportements conflictuels.
4 : Le modèle IMC comporte plusieurs étapes :
- d’« Intelligence » qui permet d’identifier le mieux possible le problème à résoudre. Au cours de cette phase, le dirigeant se pose des questions. Luigi Mancini dois ce posé les bonnes questions par exemple : les concurrents, la demande.
- La phase « Modélisation » consiste à élaborer un ensemble de solutions. Ici, Luigi Mancini se contente de deux solutions : abandonner l’activité de construction des bateaux en bois et se concentrer sur les bateaux en polyester ; développer une nouvelle activité de meubles de jardin pour utiliser au mieux le potentiel de l’entreprise. C’est cette dernière solution qui est choisie par Luigi Mancini.
On constate que tout au long de ce processus, le dirigeant a agi seul et a pris sa décision instinctivement. Cela se rapporte à la théorie de la rationalité limitée d’Herbert Simonil disposé d’informations incomplètes et il était influencé par ses propres valeurs, ce qui a conduit à l’échec, il s’agit d’une décision stratégique et qui relève de la logique entrepreneuriale.
5 : Crozier insiste sur la réciprocité du pouvoir. Chaque acteur ou groupe d’acteurs, au sein d’une organisation, doit disposer d’un pouvoir d’influence sur l’autre. Il aurait fallu mettre en place les conditions pour changer le jeu des acteurs, c’est-à-dire introduire au sein de Navmed de nouvelles règles permettant la négociation et la coopération.
6 : L’égalité dans la prise de décision, implication des salariés, dans la vie de l’entreprise. L’ensemble de ces caractéristiques nous permet de qualifier le style de direction de participatif. Ce style de management peut permettre de trouver plus facilement des compromis et faire en sorte que chaque groupe prenne mieux en compte les intérêts des autres.
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