La guerre dans le village de la honte

SOMMAIRE

I- INTRODUCTION

II- DEFINITION DE LA GUERRE

III- L’INVENTAIRE DES LIEUX

IV- CONTRE QUI EST MANIFESTEE CETTE GUERRE

V- INCONVENIENTS DE CETTE GUERRE

VI- QUEL RELATION KADOGO A EU AVEC GUERRE ?

VII- CONCLUSION

I- INTRODUCTION

« Le village de la honte » est une œuvre de l’écrivain SORO Guéfala, publiée en 2003 par une maison d’édition appelée Sud Edition. Cette œuvre nous parle de la vie d’un enfant qui voulant aller sur la lune à traversé des villages où il rencontra des traditions qui étaient bien différentes sur des tiennes. D’où le thème de notre exposé "la guerre dans le village de la honte". Ensemble voyons comment cette guerre a eu des répercutions sur les habitants des villages qu’il traversait.

II- DEFINITION DE LA GUERRE

La guerre dans l’œuvre « le village de la honte » signifie une révolte, un mécontentement. Le roman nous donne ainsi une impression claire sur ce sujet.

III- L’INVENTAIRE DES LIEUX

1) Dans le village nabondala

Le village dans lequel foulèrent les pieds de Kodongo, avait l’ère conviviale voire la manière dont il fut accueilli, le village semblait paisible et adorable. Les bannis de ce village étaient comme des personnes maudites, des personnes qui n’avaient le droit de vivre en communauté. Et c’est ce qui à pousser les parents de ceux-ci qui n’avaient pas le droit de manger, ni de faire quoi que avec leurs frères, fils, pères etc… à montrer leur mécontentement vis-à-vis de cette tradition. Cette révolte s’est faite en douceur, Compte tenu de la tradition qu’il fallait respecter. Une guerre d’éveille des consciences fut déclarée par l’enfant-adulte à la chefferie et notabilité qui fut chassé du village en fin de compte.

2) Dans le village de Gopamledouo

Ce village très encré dans la tradition, depuis des générations celle-ci a été respecté. Voila que les comportements et les mentalités vont être mis en cause quand à l’attitude adopté par ces habitants envers des personnes malades, et même le mariage d’une jeune fille à leur dieu qui devrait subvenir elle-même à ses besoins. Etant considéré comme un envoyé des dieux il eu une position très bien placée pour se lancer dans une guerre toujours de celui qui éveille les consciences pour ainsi ramener sinon enlever cette mentalité en eux. Les habitants de ce village ne sont pas restés en marge de ce mécontentement parlant ainsi de cette femme qui s’est plains de cette attitude barbare qui ne reflétait pas l’humanisme.

3) Dans le village de Nadolepleu

Là bas aussi, il faisait bon vivre, parce que bien accueillit. L’atmosphère était complaisante car l’étranger y était respecté. Le seul problème fut celui des

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