Ecriture personnelle : Selon vous, le regard que l’on porte sur notre quotidien est-il déformé par ce que nous voyons dans les médias ?

Selon vous, le regard que l’on porte sur notre quotidien est-il déformé par ce que nous voyons dans les médias ?

Tous les jours, les médias éditent, publient, montrent le monde dans son quotidien et dans ce qu’il a d’extraordinaire. Or le regard que l’on porte sur le quotidien est-il déformé par les médias ? Après avoir étudier les médias dans leurs courses au sensationnel,  sera abordée responsabilité de cette même presse dans l’expression de la vérité de l’information.

Audiovisuelle ou écrite, la presse peut déformer notre regard à plusieurs titres.

        Les journaux, la télévision, les médias en général, jours après jours, exposent l’extraordinaire qu’il soit fait divers, attentas, catastrophe, tous les événements sont traités médiatiquement extraordinairement. C’est ce que rappel Gorge PERQUE et Pierre BOURDIEU dans l’Extraordinaire et sur la télévision : chaque médias recherchais le scoop, l’évènement sensationnel, tout ce qui choque, tout ce qui scandalise, et le transforme en ce que Pierre NORA l’évènement monstre : la focalisation et l’amplification qui se font sur un sujet donner, chômage, migrant, guerre, grossissent déforment la réalité. Toutes les chaines de télévision tous les quotidien reprennent répète reproduisent les mêmes informations pendant plusieurs jours voire plusieurs semaines et se faisant, modifient le regard du citoyen.

        De plus, cette sur enchère médiatique peut modifier notre approche notre perception de l’évènement l’osque les journalistes insiste sur la dimension émotionnel liée par exemple a la catastrophe a la barbarie. Roger POL-DROIT dans l’accoutumance à l’horreur explique comment les fait évoqué sidère, choque les lecteurs ou les téléspectateurs. Les émotions les plus forte voire les plus extrêmes peuvent surgir, et déformer la porter la réalité et la gravité et du faits divers du scandale, du meurtre. Pascal BROUSSE dans obsession et Michel VINAVER dans 11 septembre 2001 évoque le sensationnalisme, l’effroyable de certain évènement mais aussi l’exploitation par les médias du gout humain pour le drame. L’émotion est dans certain média porté par son paroxysme et bien évidement déforme l’information.

        Enfin, le regard du téléspectateur et d’autant plus déformer que l’image dans les médias et utiliser comme un outil redoutable de vérité, de réalité. Rien n’est plus saisissant impactent que l’image. Paris Match a fait de l’image une stratégie informative choc et d’ailleurs leurs mot d’ordre est (le poids des mots, le choques des photos), l’image a ceci de particulier qu’elle touche psychologiquement affectivement : En effet elle court-circuite la logique rationnalisant de la réflexion qui elle et porter par le mot. Le problème et que l’image donne à voir et à ressentir mais n’explique pas, c’est une loupe grossissante et déformante c’est ce qu’explique Gisèle FREND

Ainsi, les médias sont en butte a de nombreuse critique mais ils ne sont souvent qu’a l’image de notre société.

En effet les médias ne sont pas les seuls responsables ; ils sont révélateurs de se qui se passent au quotidien dans la société

        Le regard des citoyens et peut être donc changé modifier mais ceux-ci sont responsables de ce qu’ils regardent car libre de choisir les médias. Or le gout, l’inclination, des humains pour la rumeur, le dérangent, le tragique et une caractéristique de la nature humaine, ils aiment se complaire dans le spectacle de l’horreur pour mieux se réduire d’y échapper ; c’est ce qu’écrit Aristote lorsqu’il traite de la catharsis : le spectacle du brutal de violence de la barbarie purge, purifie le spectateur de ces passions les plus négatives. Ainsi les humains non pas attendu les média pour se repêtre d’évènement extraordinaire, sensationnel, violent, scandaleux. C’est ce don traite Pascal BROUSSE dans obsession.

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