Dissertation sur Molière

La pièce de théâtre de Molière, Don Juan a été joué pour la première fois en 1665. Elle montre bien le baroque et le classicisme du dix-septième siècle. Cette pièce de théâtre représente bien les courants littéraires du dix-septième siècle.  Elle est bien illustrée avec l’excès, l’honneur et les périodes de règle.

Un des thèmes importants dans cette œuvre est celui de l’excès. Celui-ci de voit dans les conquêtes amoureuses. Sganarelle témoigne a Gusman comment est son maître : « Dame, damoiselle, bourgeoise, paysanne, il ne trouve rien de trop chaud ni de trop froid pour lui ; et si je te disais le nom de toutes celles qu’il a épousées » (p.34). L’accumulation de toutes ces femmes « Dame, damoiselle, bourgeoise, paysanne » montre qu’il a eu plusieurs conquêtes amoureuses. Il ne les a pas simplement courtisés. Il a contracté plusieurs mariages « toutes celles qu’il a épousées » montre l’excès quart il les a toutes épousées. L’antithèse « il ne trouve rien de trop chaud ni de trop froid pour lui » montre qu’il n’a pas de critère autre qu’une femme, ceci est typé du baroque qui est un courant littéraire du dix-septième siècle. De plus, le thème du désir est aussi présent. Dom Juan confit ses fantasmes Sganarelle « Pour moi, la beauté me ravit partout où je la trouve, et je cède facilement à cette douce violence dont elle nous entraîne. » (p.38).  Il trouve de la beauté dans chaque femme « Pour moi, la beauté me ravit partout où je la trouve » indique l’excès, il trouve toutes les femmes belles. Il n’a pas le choix se de marié pour avoir des relations avec elle « je cède facilement » indique qu’il accepte donc toutes les femmes, car il veut assouvir ses désirs.  Dans le courant baroque, on retrouve une complexité ornementale qui est bien illustre par l’oxymore « cette douce violence » qui indique que c’est un courant littéraire du dix-septième siècle. Bref le terme de l’excès se voit à travers les conquêtes amoureuses et ses désirs.

Ensuite, un autre des thèmes importants dans cette œuvre est l’honneur. Celui-ci se voit dans la famille. Don Carlos confit à Don Juan qu’il veut venger sa sœur. « Monsieur, je ne feindrai point de vous dire que l’offense que nous cherchons à venger est une sœur séduite et enlevée d’un couvent » (p.102). Don Carlos veut corriger « l’offense » qui a été faite à sa sœur montre bien la famille. Son ambition « nous cherchons à venger est une sœur » montre l’honneur, c’est honorable de défendre un membre de sa famille. L’antithèse « séduite et enlevée d’un couvent » montre bien l’exagération du baroque qui est un courant littéraire du dix-septième siècle, Dom Juan n’a pas mis une cagoule pour aller l’enlever contre sa volonté du couvent. De plus, le thème du devoir est aussi présent. Dom Alonse reconnaît Don Juan et veut sa mort malgré le fait qu’il est sauvé la vie de son frère. Mais son frère n’est pas en accord avec ça : « Ah! Mon frère arrêtez. Je lui suis redevable de la vie ; et sans le secours de son bras, j’aurais été tué par des voleurs que j’ai trouvés. »  (p.105). Un gentil homme a des devoirs de moralité : « Ah! Mon frère arrêtez. » son refus de vouloir le tuer immédiatement montre qu’il remplit le devoir d’un gentil homme. Malgré son désir de vengeance, il veut lui sauver la vie : « Je lui suis redevable de la vie » montre qu’il a de l’honneur. La métonymie « sans le secours de son bras » montre bien la démesure du baroque qui est un courant littéraire du dix-septième siècle. Ce n’est pas juste le bras qui sait battu seule, mais Dom Juan à part entière. Bref, le thème de l’honneur se voit à travers la famille et le devoir.

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