Dissertation sur L'étranger
Dissertation : Dissertation sur L'étranger. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Paula Gonzalez • 7 Décembre 2017 • Dissertation • 1 201 Mots (5 Pages) • 813 Vues
N'attendez pas le jugement dernier. Il a lieu tous les jours.
Quelquefois les personnes ne se rendent compte de ce qu'ils fassent jusqu'à il n'a pas point de non retourne.
Les gens se laissent entraîner et ils ne pensent pas à ce qui s'est passé, c'est à cause de ça, que quelques fois nous ne pensons pas ce que nous faisons et quand nous voyons que ces actes apportent avec elles problèmes il est déjà tard pour éviter les conséquences.
Même s'on tue une personne à cause de la colère d'un moment de mécontentement ou si nous sommes en train de blesser à une personne et ne nous rendons pas compte, nous avons la faute. Il y a des personnes qui reprennent conscience au temps, mais il a des autres qui ne se rendent compte et ils uniquement réagissent quand il est trop tard pour résoudre les choses.
Un bon exemple de tout ça peut-être la chanson ‹‹Ahora es demasiado tarde›› d'un groupe de musique espagnol qui s'appelle ‹‹El sueño de Morfeo›› qui dans cette chanson dit une phrase très adéquate par cette dissertation:
‹‹Ahora es demasiado tarde, el tren salió de la estación.››
Cette chanson parle de que si tu ne fais pas les choses à temps le train, c'est-á-dire, ton opportunité est passé et après tu te repentiras pour ne pas réagir et avoir perdu une occasion qui pouvait être unique.
On peut considérer tout ça que je viens de dire avec le livre d'Albert Camus, ‹‹L'Étranger››, mais non d'une forme si radicale. Le protagoniste, Meursault, est une personne un peu particulière, c'est-á-dire, il ne contemple la vie de la même forme que la majorité des personnes la contemplent, je veux dire, normalement les personnes aiment sa vie et ils veulent vivre tout le temps possible qu'ils peuvent, parce que vivre c'est un acte unique que dans un moment ou dans un autre va finir et nous devons vivre la vie avec plaisir et faisons choses qui nous aimons, mais Meursault croit que vivre est comme une perte de temps. On peut regarder ça dans la suivante citation:
‹‹Eh bien, je mourrai donc. Plus tôt que d'autres, c'était évident. Mais tout le monde sait que la vie ne vaut pas la peine d'être vécue. Dans le fond, je n'ignorais pas que mourir à trente ans ou à soixante-dix ans importe peu […] C'était moi qui mourrais, que ce soit maintenant ou dans vingt ans. À ce moment, ce qui me gênait un peu dans mon raisonnement, c'était ce bond terrible que je sentais en moi à la pensée de vingt ans de vie à venir.›› (p. 171)
Avec cette citation on peut vérifier que Meursault est un peu différent au reste du monde et à cause de ça je dois aborder le thème de la dissertation d'une forme très particulière, parce que Meursault ne pense pas dans le jugement dernier, il uniquement fait les choses et c'est tout.
Meursault, par exemple, ne se regrette pas de tuer l'arabe, il l'a tué et il ne se regrette pas, il ne se regrette aussi de ne pleurer dans l'enterrement de sa mère, mais, par exemple il se regrette par exemple de n'écouter bien ça condamnation a morte parce qu'il croit que c'est une chose importante:
‹‹Je me reprochais alors de n'avoir pas prêté d'attention aux récits d'exécution. On devrait toujours s'intéresser à ces questions. On ne sait jamais ce qui peut arriver›› (p. 164)
Cet acte fait de Meursault une personne très différente a les autres. Comment une personne va croire que c'est mal ou va se lamenter de n'avait pas prête d'attention aux récits d'exécution mais il ne va se lamenter de tuer a un homme, je pense que c'est un acte d'une personne qui n'est comme le reste, c'est-à-dire, normalement les personnes apprécient leur vie, et Meursault, avec ses actes, démontre qu'il a une forme de regarder les choses très différentes à l'habituelle, et à mon avis j'ai peine par Meursault, parce qu'il est une personne qui accepte tout, c'est normal que lui n'espérai pas aller au prison si tu tues à une personne, mais ne l'assumer pas de la façon que Meursault le fait et se résigner sans lutter:
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