Culture générale et expression bts 1ere année
Étude de cas : Culture générale et expression bts 1ere année. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Catherine Renard • 27 Février 2019 • Étude de cas • 1 894 Mots (8 Pages) • 630 Vues
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Rédigez votre texte : QUESTION 1 Le para-texte du quatrième document « les boites à bébés pourraient disparaitre en Allemagne » de Camille Le Tallec, possède quatre parties distinctes. Il se compose donc du titre, d’une phrase d’amorce, de sous-titres et en fin de document le nom de l’auteur, le nom du journal et la date de publication. Dans un premier temps, nous trouvons le titre « les boites à bébés pourraient disparaitre en Allemagne ». Ce titre évoque d’embler le sujet abordé dans cette article de presse ; l’abandon des nourrissons par leurs mères ; ainsi que son emplacement, en Allemagne. Le groupe de mot « boites à bébés » possède une connotation péjorative, limite malsaine. La boite sert en générale à ranger des objets, exemple d’une boite à chaussures, le bébé dans ce cas n’a pas plus de valeur, il n’est qu’un simple objet. Il est en danger dans l’esprit du lecteur. La disparition de ces boites est une éventualité mais non certaine, nous pouvons le voir grâce à l’utilisation des verbes « pouvoir » et « disparaitre ». Dans un second temps, la phrase d’amorce, « le Bundestag a voté une loi ouvrant la voie de l’accouchement « confidentiel », sur le modèle de l’accouchement sous x en France » souligne la question des « boites à bébés » et propose de copier le modèle Français avec l’accouchement sous x. Dans un troisième temps, les phrases sous-titres séparant chaque partie du texte montre des informations supplémentaires, « les « boites à bébés » dénient le droit de l’enfant à connaitre ses origine, critique l’ONU ». Dans ce sous-titre nous pouvons voir que les « boites à bébés » allemandes on des retombées mondiales avec l’organisation des nations unies. Ensuite, le sous-titre « droit à l’anonymat contre droit à connaitre ses origines » oppose par « contre » le droit de préserver l’anonymat des mères et le droit de permettre aux enfants de retrouver leurs mères maternelles. Pour suivre, le sous-titre « depuis 1999, 278 enfants déposés dans des « boites à bébés » », nous donne des indications chiffrées, l’année 1999 et le nombre d’enfant abandonné dans les « boites à bébés » allemande cette année là, soit 278. Pour finir, le sous-titre « inefficacités contre les infanticides » mets en avant un autre point de vu. En effet, les « boites à bébés » ne seraient pas efficaces contre le meurtre de nourrissons. Dans un dernier temps, situer en fin de l’article, le nom de l’auteur Camille Le Tallec, le nom du journal « La Croix » et la date de parution, le 14 juin 2013, nous permet de situer l’article dans une époque et de mieux comprendre le contexte (Journal « La Croix »). Pour terminer, nous pouvons définir le thème général de l’article, à travers les éléments du para-texte, l’abandon des nourrissons, et la remise en cause des « boites à bébés ». QUESTION 2 1 – J’étudierai les documents dans l’ordre suivant, si je devais en faire une synthèse complète, en premier, le document 2, ensuite le document 3, puis le document 1 et enfin le document 4. Cet ordre classe ses documents en ordres chronologique, du plus ancien au plus récent. Les documents évoquent dans cet ordre, l’origine de l’existence des boites à bébés, puis son illustration, pour suivre la situation actuelle de ces boites à bébés et pour finir la remise en question du système et prévoit la disparition de ce système en Allemagne. 2 – On peut voir deux photographies sur le document 3. La première montre le tour d’abandon de l’hôtel-Dieu Saint-Jacques à Toulouse. Le nourrisson envelopper dans une couverture est déposé dans la boite à bébé, abandonné. La seconde est intitulé Babyklappe Lübeck, Babyklappe signifie guichet pour bébé et donc un tour d’abandon en français. Dans le petit texte entre les deux photographies, on peut y lire qu’en France les boites à bébés existaient déjà en 1540. On peut en conclure que l’Allemagne utilise un moyen archaïque, les boites à bébés. Alors qu’en France, la méthode utilisée aujourd’hui est l’accouchement sous x. QUESTION 3 1—Le document 1 est de type informatif écrit par Charlotte Chabas pour le journal Le Monde. Cet article de presse évoque que les « boites à bébés » on été remis en service par l’Allemagne en premier en 2000 puis par dix autres pays européens, alors que ce système n’est pas apprécié mondialement contrairement à la méthode française de l’accouchement sous x beaucoup plus aimée. 2—Le document 2 est de type narratif écrit par Armand Colin. Entre le XVIe siècle et le XVIIIe siècle en France les conditions causant un accroissement brutal des abandons d’enfant ont un lien entre les mentalités de l’époque qui était contre l’avortement et l’abandon d’enfant et la considération actuelle de la conception d’enfants en France. 3—Le document 3 est informatif de genre nature mort. Cette photographie de le « tour d’abandon » à Toulouse et le commentaire explicatif sous la photo on pour vocation d’expliquer comment l’on procédait à l’abandon des nouveaux nés à l’hôtel-Dieu Saint Jacques à Toulouse. 4—Le document 4 est informatif écrit par Camille Le Tallec. Cet article de presse nous informe sur la possible suppression future des «boites à bébés » en Allemagne et les raisons à la réticence de ce système. QUESTION 4 1—Le document 2 d’André Burguière, nous informe qu’entre le XVIe et le XVIIIe siècle on abandonnait des nourrissons soit parce qu’ils étaient illégitimes, né hors mariage soit parce que les parents vivant dans la pauvreté et ne pouvais donc pas subvenir à ces besoins. Vers 1760, le taux d’enfant baptisé et reconnus illégitimes s’est laissé dépasser par celui d’enfant abandonné. Les famines et la misère peut justifier la peur des parents n’ayant pas les moyens de subvenir à leur besoin. Afin d’offrir un meilleur confort de vie à leur foyer, les parents ont la volonté de limiter le nombre d’enfants dans leur foyer. 4—L’article de presse de Charlotte Chabas, nous informe qu’il y a une augmentation constante du nombre de « boites à bébés » dans les établissements publics et religieux. Il nous dévoile que ce système stoppé depuis plus d’un siècle a été remis en service par l’Allemagne en premier en 2000, puis par dix autres pays européens, pour remédier à l’abandon des nouveaux nés dans des lieux non appropriés (les poubelles) et donc remédier au meurtre de nouveau née, alors qu’il n’est pas apprécié mondialement contrairement à la méthode française de l’accouchement sous x beaucoup plus aimée. Cela est critiqué par l’ONU car elle regrette que les enfants ne puissent retrouver leurs parents biologiques mais défendu par les religieuses car sa empêcherai selon elles les avortements. Nous pouvons conclure que l’accouchement sous x sur le système Français paraît le plus humain car l’anonymat des mères est préservé et l’enfant aura la possibilité de retrouver ses parents biologique à sa majorité. QUESTION 5 L’abandon des enfants est un problème de société bien ancré en Europe depuis le Moyen-âge. En effet, d’après André Burguière dans son œuvre Historique de la famille le contexte social joue un rôle important. Depuis le XVIe siècle avoir un enfant illégitime, hors mariage, est très mal vu. Ainsi que le contexte économique car nombreux sont les gens à vivre dans la misère. Ce qui pousse les parents sous pression des mœurs de l’époque à abandonner leurs nourrissons dans les hôpitaux publics. La non présence de contraception et la difficulté à subvenir aux besoins d’un enfant supplémentaire sont des exemples de raisons à l’origine de ces abandons. Nous avons pu voir dans l’article de Charlotte Chabas paru en 2012 dans le journal « Le Monde » que de nos jours, l’aspect social occupe toujours une place très importante dans leur décision d’abandon. Pour suivre, il apparait dès le XVIe siècle en France et en Europe les « tours d’abandon », aujourd’hui appelés « boites à bébés ». Nous avons pu voir sur la photographie du « tour d’abandon » de l’Hôtel-Dieu Saint-Jacques à Toulouse, qu’en 1540 le parent déposait son bébé au niveau d’une plateforme qui pivotait ensuite amenant le bébé à l’intérieur de l’hôpital où les sœurs prenaient alors le relais pour soigner le nouveau pensionnaire. Ce système avait été stopper depuis plus d’un siècle mais fût remis en service par l’Allemagne en 2000, ce qu’atteste la photographie d’une babyklappe à lübeck, puis par dix autres pays européens, pour remédier à l’abandon des nouveaux nés dans des lieux non appropriés (les poubelles) et donc remédier au meurtre de nouveau née, alors qu’il n’est pas apprécié mondialement contrairement à la méthode française de l’accouchement sous x beaucoup plus aimée. L’article de Charlotte Chabas et Camille Le Tallec mettent en évidence que les soins apportés aux nourrissons on nettement évolué depuis le Moyen-âge. En effet, en Allemagne les boites à bébés sont munies de lits chauffants, de caméra et d’un système d’alarme pour avertir les centres de soins alentours tout en laissant à la mère le temps de s’éloigner. Les parents ont la possibilité de changer d’avis sous huit semaines auquel cas l’enfant passe sous la responsabilité de l’Etat. D’autre part, « les boites à bébés » ne sont pas très appréciées. Selon Charlotte Chabas, les religieuses défendent ce système car il permettrait de remédier aux avortements et aux meurtre de nourrisson contrairement aux Nations Unies qui les remettent en cause ce système car il va à l’encontre du droit de l’enfant à rechercher sa famille biologique à sa majorité. Nous pouvons voir aussi dans l’article de Camille Le Tallec que les boites à bébés en Allemagne tendent à devenir obsolètes car entre 1999 et 2010 sur 973 abandons de bébés 652 ce sont fait par accouchement anonyme contre seulement 278 par boites à bébés. Ainsi que l’incapacité de l’enfant à bénéficier de son droit de rechercher ses origines. Pour terminer, la méthode d’accouchement sous X utilisé en France permettant de garder l’anonymat de la mère et donne le droit à l’enfant abandonner à sa majorité de chercher sa famille biologique, ce système n’est pas apprécié mondialement. C’est ce que l’on peut constater dans l’article de Charlotte Chabas où le droit de l’enfant et celui de la mère l’abandonnant sont respectés, mais cette méthode est aussi critiquée. Cependant dans l’article de Camille Le Tallec, nous pouvons voir que l’Allemagne tenterait d’adopter le modèle français de l’accouchement sous x, l’accouchement « confidentiel », le Bundestag a voté une loi en faveur de cette méthode d’accouchement, et prévoit la disparition des boites à bébés tant critiqués par l’ONU et le Comité allemand d’éthique. En conclusion, l’abandon d’un enfant tend de nos jours à être réglementé par un système d’accouchement sous x succédant aux boites à bébés. Nous pouvons conclure que l’abandon d’un enfant tend à se réglementé, par l’accouchement sous x sur le système Français, succédant aux boites à bébés, ce qui paraît le plus humain car l’anonymat des mères est préservé et l’enfant aura la possibilité de retrouver ses parents biologique à sa majorité | Commentaires du correcteur : |
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