Commentaire fable
Commentaire de texte : Commentaire fable. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar street live • 5 Janvier 2016 • Commentaire de texte • 602 Mots (3 Pages) • 1 570 Vues
Apologue
Au XII s sous le régne de Louis XIV ,les écrivain sont soumis à la censure .Celle-ci oppose des contrainte lors des écriture .
Jean de la fontaine ,poète engagé du XVIII , a publié trois recuiel de fable entre 1668-1696 ,dont le premier est dédié au Dauphin, fils du roi, ces fables ont donc un rôle pédagogique et moralisateur; le deuxième recueil est dédié à Madame de Montespan, la maîtresse du souverain ; enfin, le troisième recueil est dédié au petit-fils de Louis XIV.
Dans le premier ,on retrouve ,"Le Loup et le Chien" où s'oppose deux mode de vie ;celle du loup qui est libre et celle du chien quant à elle ,elle est sous l'autorité de son maitre .
Ce récit dénonce donc le fait que les poète sois censuré et que d'autre poète sont en servitude pour un mécène (roi) ,nous verrons ensemble si Jean de la Fontaine a une bienveillance à un animale et une malveillance à un autre animale .
Nous verrons tous dabort la confrontation vivante entre les deux animaux pour ensuite examiner comment l'auteur a put mettre en relation poésie ,récit ,description et dialogue.
Dans cette fable, le chien est supérieur au loup comme le montre la gradation au vers 3 et 4«un Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli» qui met le chien en valeur et l'autre gradation vers 16 et 17 «Vos pareils y sont misérables, Cancres, hères, et pauvres diables» qui insiste sur l'état du loup.
De plus la gradation au vers 3 et 4 "un Dogue aussi puissant que beau ,Gras ,poli " met valeur les bienfaits qu'apporte la servitude .
Le chien le rabaisse donc par sa supériorité. Il montre sa supériorité en donnant des ordres au loup vers 15 et vers 21 «Quittez les bois», «Suivez moi». Il vante ensuite son travail au vers 23 à 25 en luiénumérant les tâches à accomplir «donner la chasse aux gens, Portants bâtons, et mendiants; Flatter ceux du logis, à son maître complaire» mais le chiasme «Flatter ceux du logis, à son maîtrecomplaire» insiste sur la flatterie qui est nécessaire dans son travail et dévalorise le travail du chien.
Toutefois le loup reste méfiant et agit comme quelqu'un d'inférieur. Il est particulièrement poli avec le chien «Le loup donc l'aborde humblement, Entre en propos, et lui fait compliment Sur son embonpoint qu'il admire» vers 10 à 12 alors que le chien, lui est ironique vers 13 et 14 «Il ne tiendra qu'à vous d'être aussi gras que moi» . Sa méfiance s'accompagne de surprise quand il découvre le col du chien. Elle est traduite par l'emploi du passé simple «vit le col du Chien pelé» au vers 32. La stichomythie qui suit vers 33-34«Qu'est-ce là? -Rien -Quoi? Rien? -Peu de choses -Mais encor?» montre l'accélération de l'échange au moment où le loup aperçoit le collier .
De plus les parole sont apportés au discour directe ceux qui rend la fable plus vivace ,ainsi que l'emploi du présent de narration rend le recit plus fluide .
Les personnification du "Chien" et du "Loup" remet en question la représentation de personnage réel d'où le but de cet apollogue .
En outre La pensé du poète apparait implicitement .De plus Le mots "Sire Loup " vers 6 traduit la prise de position du fabuliste envers le loup .
La parole du chien est privilégié ,mais le loup dit le dernier mots en decidants de s'enfuir .
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