Méthodologie de la dissertation

COMMENT REDIGER LA DISSERTATION

1. Rédiger l’introduction (l’entonnoir)

Préambule : rappel historique, réflexion générale sur le thème du sujet, étymologie d’un mot-clé du sujet, citation… Rédiger une phrase qui fait le lien entre votre préambule et le sujet.

Thèse : Recopier le sujet de manière neutre et sans la consigne !

Ex : Recopier le sujet puis reformuler la consigne : « En quoi cette formule, appliquée aux romanciers et nouvellistes réalistes et naturalistes, vous paraît-elle exacte ? » Vous ne pouvez pas poser vous-même la question à l’examinateur ! Reprenez là en utilisant le « nous » et en affirmant ce que vous allez faire : « Nous nous demanderons donc en quoi… ».

Reformuler le sujet en l’explicitant à l’aide des mots-clés du sujet (cf étape 3 du brouillon)

Problématique : question que vous avez rédigée au brouillon (cf étape 4 du brouillon)

Plan : autant de phrases que de parties (cf étape 7 du brouillon). Ex : Dans un premier temps… . / Dans un deuxième temps… . / Dans un troisième temps… .

2. Rédiger le développement

Paragraphe = une sous partie : un alinéa au début ; le § forme un seul bloc ; sauter des lignes entre les §.

Transitions entre les parties : Résumer en une phrase de conclusion partielle les arguments développés dans une partie ; Annoncer la partie suivante par une phrase d’introduction.

Connecteurs logiques pour souligner la logique de la réflexion : D’abord, ensuite, c’est pourquoi, en effet, par ailleurs, néanmoins, de plus,…

Citations des phrases d’auteurs entre guillemets ou des textes en précisant toujours la source le plus précisément possible (auteur, Titre, « sous-titre », date, chapitre). Les citations s’accompagnent d’un commentaire personnel pour appuyer la réflexion.

3. Rédiger la conclusion (la pyramide)

Bilan : récapituler les temps forts du raisonnement.

Réponse claire à la problématique : vous pouvez éventuellement donner votre avis mais de manière nuancée et sans utiliser le « je ». Préférez le « nous ».

Ouverture : sur un autre aspect du sujet non traité par le sujet, sur un autre domaine de réflexion en lien avec le sujet.

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