La connaissance de soi
Dissertation : La connaissance de soi. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Panda22 • 26 Mai 2013 • Dissertation • 1 427 Mots (6 Pages) • 1 725 Vues
Dans le grand 1 on peut parler de la connaissance de soi, d’introspection, si tu veux on peut parler de conscience et d’inconscient, ça devrait scotcher ta prof, mais là faut faire un truc béton, pas seulement exploiter des idées par ci par là comme je te donne ci-dessous…
La connaissance de soi est personnelle, personne ne peut mieux se connaître que soit même, alors que l’apport des connaissances en générale ne sera jamais autant bénéfique qu’en groupe, partager les idées, contredire, argumenter, développer les réflexions…au final tu obtiens la « vérité » sur la chose quand le sujet a été bien retourné dans tous les sens.
L’envie de se connaître soi même est propre à certaines personnes qui ont un réel besoin de savoir. La quête de la connaissance est un but courant, et elle implique la connaissance de soi le plus souvent
Perso je pense à l’égo lorsque l’on parle de connaissance de soi, jusqu’où peut-on analyser sa propre personne (dans le bien comme dans le mal) ?
Se féliciter d’avoir fait une bonne action, en conclure qu’on est une bonne personne, s’avouer un tort, ou se voiler la face pour ne pas blesser son propre égo…jusqu’où sommes nous prêt à nous avouer nos erreurs, sommes nous prêts à nous remettre en cause pour mieux se connaître, accepter que l’on a eu tort pour en émerger plus fort : la connaissance sur soi en sera d’autant plus gratifiante !
La difficulté est de savoir dissocier son esprit de son égo afin d’avoir une analyse critique neutre et sans jugement personnel qui influerait sur les découvertes de sa personne.
Mais on a quand même besoin des autres pour se découvrir, les mécanismes de défense de l’égo sont très puissants, et certains individus sont incapables de se rendre compte de leurs propres défauts, non pas qu’ils ne soient pas apte à les admettre, avant ça il faut qu’ils en soient conscient. Pour cela prendre du recul est nécessaire, ne pas se laisser envahir par les émotions, ce sont elles qui faussent les jugements et les perceptions. Se laisser du temps est nécessaire pour prendre du recul, lorsqu’on est face à une vérité blessante, la meilleure solution est de ne pas la prendre en compte en se sentant offenser, mais de laisser redescendre l’intensité de l’impact qu’à eu la révélation pour ensuite faire la part des choses et accepter le fait.
Certaine personne sont prêtes à tout entendre, à réfléchir aux critiques pertinentes et constructives qui leurs permettront d’avancer dans leur propre recherche de soi. D’autres personnes se vexent très rapidement et ripostent aux constatations qu’ils interprètent come des accusations. Il est clair que ça n’est jamais agréable d’être mis à nu par des paroles percutantes, le ruminement psychologique qui suit peut être très douloureux.
L’introspection qui permet la découverte personnelle de mauvais comportement, de pathologie ou de névrose peut aussi être amenée en douceur si ces prises de conscience sont acheminées par une longue analyse, on découvre un coup ceci, puis cela, ensuite on trouve un lien qui relie plusieurs idées, on progresse petit à petit. Ce n'est pas comme si la prise de consciente provenait de l’extérieure et qu’elle était brutale. Si une personne nous apprenait une vérité que l’on ne voulait pas entendre (il y a que la vérité qui blesse) sans que l’on n’est jamais pensé au sujet évoqué, il est clair qu’être subitement confronté à la vérité est assez choquant. Être un minimum préparé à l’adversité de la chose permet de mieux accepter la réalité des choses.
Donc l’égo est une parade à la connaissance de soi, facile de se congratuler, plus difficile de percevoir ses défauts sans un avis extérieur. Mais il est le protecteur de notre intégrité mentale, il saura trouver des solutions, des pensées qui feront que la faute sera toujours attribué à autrui et jamais à ça. C’est pour cela qu’il faut savoir le dissocier de sa pensée afin d’explorer sans fausse croyance sa personne (généralement les gens qui fonctionnent comme ceci ne s’intéresse absolument à tout ce qui a un rapport avec l’introspection).
Pour en revenir à la croyance, on peut croire que l’on se connaît, toute sa vie l’on va se dire « désormais je sais qui je suis », mais comme l’évolution dans le temps est perpétuelle, on en se connaît au final jamais, tout n’est qu’illusion et croyance. Les vérités propres à chacun que l’on
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