En quoi peut on dire que Marguerite Duras manifeste dans Un barrage contre le Pacifique une « vive sensibilité à l’égard de tous les opprimés, de toutes les oppressions »
Dissertation : En quoi peut on dire que Marguerite Duras manifeste dans Un barrage contre le Pacifique une « vive sensibilité à l’égard de tous les opprimés, de toutes les oppressions ». Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Titoune414 • 22 Mai 2016 • Dissertation • 1 285 Mots (6 Pages) • 2 163 Vues
Dijoux Marie 1re S2
Français:dissertation.
Sujet : En quoi peut on dire que Marguerite Duras manifeste dans Un barrage contre le Pacifique une « vive sensibilité à l’égard de tous les opprimés, de toutes les oppressions »
Un barrage contre le Pacifique est un roman autobiographique de marguerite Duras écrit en 1950. il raconte l'histoire d'une mère et de ses deux enfants Joseph et Suzanne qui vivent dans une plaines à Kam situé en Indochine, ils sont venu vivre en Indochine avec un rêve coloniale. Mais ce rêve se transforme en cauchemar lorsque que la mère achète une concession incultivable. A travers ce récit autobiographique nous allons montrer que Marguerite Duras développe une vive compassion en vers les opprimés. Pour cela nous nous focaliserons sur la critique du système coloniale que Marguerite Duras fait le long de son roman et aussi a omniprésence de la misère.
L'action se déroule dans les année 1930, l’Empire colonial n’est pas encore remis en cause. Cette histoire constitue donc un véritable témoignage sur ce que pouvait être la vie au sein d’une colonie française. Tout d'abord ce roman nous livre que a l’intérieure de cette colonies plusieurs classes sociale sont présente qu'elle soit en ville ou dans la plaine : en bas de l’échelle se trouve les indigènes qui vivent dans la misère la plus grande ; ensuite les blancs pauvres qui se prostituent pour vivre, Suzanne Joseph et la mère font parti de cette catégories. Et en haut de l’échelle se trouve les riches blancs et l'administration qui est dans le livre corrompu et malhonnête. En effet après avoir jouer pendant dix du piano au cinéma, la mère avait enfin assez économiser pour pouvoir acheter une concessions aux agents du cadastres. Malheureusement cette concession était incultivable et c'est a ce moment que le cauchemars de la mère pris forme. Elle s’était fait duper par les agents du cadastres qui s'amusaient a vendre au blanc les plus pauvres, les terres les plus inexploitables. Elle se trouvait face a une terre sans aucune ressource, qui au moment de la mousson se faisait inonde par les eaux salées de la mer de pacifique et dans laquelle elle y avait mit toutes ses économies. Elle ne cessait d’en vouloir a ces agents cadastraux. Durant toute l'histoire celle ci restent dans ces illusion et ne perd pas espoirs ; elle s'accroche à sa concession dans l’espoir de pouvoirs un jour y cultiver quelque chose. Lors de la construction de ses barrages la mère fait appel au paysans ; pour les motiver elle leur disait que si ils pouvaient empêcher ses inondation ils pourraient enfin se libérer de l'oppression qu'exerce les agents cadastraux sur leurs propriétés. Cette tentative fut un échec total. Elle se bat jusqu'à la fin de vie contre l'administration du cadastre. L’administration n'est pas son seuls combats dans ce romans ; aussi la famille était victime de la pauvreté, la pauvreté revient très souvent dans le romans, et dès l’incipit, question d’argent : de l’argent, des dettes et des ennuis financiers de la mère. Dés l'arrivait de monsieur Jo une stratégie pour lui extorquer de l’argent fut mise en place par la mère. Dans la deuxième partie du livre ils partent a la ville pour y vendre le diamant qui a été offert a Suzanne par monsieur Jo ; ce diamant valait vingt milles francs, mais ce diamant posséder un défaut qui fessait que son prix baisser de la moitié du prix d'origine. Mais l’acharnement et la quête d'argents de la mère la pousse a faire le tour des diamantaires dans l’espoir voir les vingts milles francs elle devait alors se battre contre les diamantaires. Cette lui aurait servi a payer ses dettes et a reconstruire ses barrages pour empêcher les agents cadastraux de lui reprendre sa concession. Les habitants de la plaines étaient eux utilisés par les blancs plus riches pour travailler pour eux ; ils étaient exploités et en mourraient le plus souvent. En ville, d'autres formes d'oppressions sont présentent ; il y avait deux types de quartiers ; un pour les riches et un pauvres, de nombreux bordels dans le quartier des pauvres, fréquentaient par des officiers en permanence... De nombreuse femmes se voyaient dans l'obligation de se prostituées pour pouvoir vivre. Même après avoir trouvaient un marri qui les emmenaient dans les plaines ; elles s'ennuyait tellement vite qu'elles revenaient dans leurs bordel et recommençaient a se prostituées. Les agents cadastraux étaient responsable d'une parti du malheur des habitants de la plaine mais il y avait aussi une grandes misère.
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