Analyse du roman Mercure
Fiche de lecture : Analyse du roman Mercure. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Jordan67 • 14 Novembre 2017 • Fiche de lecture • 708 Mots (3 Pages) • 1 880 Vues
Analyse littéraire sur le roman
Mercure
Travail présenté par
Jordan Giguère
Remis à
Annie Saint-Germain
Dans le cadre du cours
Lecture et analyse
601-ESB-MO
Collège Montmorency
19 avril 2017
Les agressions sexuelles et les mensonges sont des actes très inacceptables au sein de plusieurs gens. Les agressions sont illégales et les mensonges affectent des relations entre des individus. Écrit par Émilie Nothomb, le livre « Mercure » a fait apparition en 1998. Cette nouvelle présente une histoire remplie de mensonges des personnages principaux. Pour le prouver, les menteries de Françoise envers sa patiente et le capitaine seront étudiées, en plus de ceux du supérieur à Françoise.
Dans le livre, la vérité est rarement présente. Françoise raconte plusieurs mensonges lors de son séjour, à Mortes-Frontières, au capitaine et à Hazel qui est couchée dans son lit. L’infirmière ne donne pas les bonnes informations sur la santé de la jeune patiente qui approche l’âge de vingt-trois ans :
Au terme des trois cents secondes, elle reprit le thermomètre. Elle allait ouvrir la bouche pour dire "38. Ce n’est pas grave. Une aspirine et ça passera" quand une intuition incompréhensible l’en empêcha. 39.5. C’est sérieux, mentit-elle. (l.219-224)
Françoise Chavaigne n’est clairement pas en train de donner le bon chiffre à Hazel. Au lieu de dire la vérité, elle décide de mentir et
d’augmenter le chiffre à 39.5 pour dire a Hazel qu’elle est vraiment malade et elle a une grosse fièvre. Après que l’infirmière a évalué Hazel, elle est allé voir le capitaine pour lui annoncer la nouvelle. C’est à ce moment que Françoise a été obligé de mentir. Elle a menti à Hazel, donc elle ment aussi au capitaine. Elle lui dit que la jeune patiente est très malade et fait beaucoup de température. En plus de lui dire ça, elle affirme que Hazel doit être hospitaliser. « Monsieur, votre pupille est malade […] elle risque une pleurésie si elle n’est pas soignée. Le visage du Capitaine se décomposa. » Françoise, encore une fois, ne dit pas la vérité. Le capitaine est beaucoup inquiet pour sa pupille Hazel. D’autre part, la métaphore « Le visage du Capitaine se décomposa » (l.239-241), rend bien compte que le capitaine est bien sous le choc et vraiment stressé. Il n’a pas envie de perdre la jeune fille ,car c’est seulement avec elle qu’il peut véritablement exprimé son amour total qu’il a pour Hazel. Bref, dans l’histoire, M.Chavaigne est une femme malhonnête avec son entourage à Mortes-Frontières. Le capitaine et Hazel n’ont aucune idée que Françoise est une menteuse.
Au retour de Françoise Chavaigne, à Nœud, elle est allée parler à sa supérieure. En plus de mentir à Hazel et le capitaine, elle ment à sa supérieure. Elle explique à sa supérieure à quel point le capitaine est malade et doit être hospitalisé : « Le Capitaine frise la pleurésie. Malgré mes injonctions, il refuse d’être hospitalisé. » (l.269-270) Dans cette citation, nous pouvons constater que l’infirmière affirme que c’est le capitaine qui est malade quand c’est totalement faux. Le verbe «frise», est à l’indicatif présent et nous montre que le capitaine à frôler la pleurésie, c’est-à-dire qu’il a passé proche d’avoir une pleurésie . Au début de l’histoire, la supérieure de Françoise se contredit elle-même dans ce qu’elle dit. Elle fait preuve de malhonnêteté avec sa meilleure infirmière. Elle affirme que le capitaine est un vieux maniaque : « Ce Capitaine est un vieux maniaque […] Cela dit, je ne pense pas que le Capitaine soit dangereux. » (l.5-15) Elle ment à Françoise disant qu’il est un vieux maniaque, mais juste après qu’elle se réfère à cela, elle affirme qu’il n’est pas dangereux.
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