Tristan et Iseut chapitre 2

Le fameux Tristan de Loonois est un chevalier robuste, qui a surpassé ses

capacités, en défiant le dangereux Morholt d’Irlande, grâce à sa fermeté face au

danger. En effet, il a le courage de défier le géant, en combat loyale, pour la

libération des terres, de son oncle Marc, par l’emprise du roi d’Irlande. Sinon, par

anciens traités d’accord, le Roi Marc n’a pas vraiment le choix de lui accorder 300

jeunes garçons et 300 jeune filles de l'âge de 15 ans sauf si quelqu’un est en

mesure de vaincre le chevalier géant sur l'Île Saint-Samson. Tristan, parmi les

autres, se propose: « Alors Tristan se s’agenouilla aux pieds du roi Marc, et

dit: « « Seigneur roi, s’il vous plait de m'accorder ce don, je ferai la bataille. » »

Dans cette citation émotive, ceci démontre qu’il n'a pas peur de la mort, mais,

que c’est plutôt un « don » ou bien un cadeau de combattre en l‘honneur de son

cher oncle. Cette citation est une antithèse qui oppose la positivité « don » et la

négativité « bataille ». Ce n'est pas n'importe qu’elle personne qui porte son

courage à ce niveau. C’est réellement un acte de bravoure de la part du jeune

chevalier. De plus, avant le combat ,sur l’île, Tristan pousse sa barque vers la mer

et le Morholt lui questionne. Avec arrogance, Tristan lui répond: « À quoi bon?

L’un de nous reviendra seul vivant d’ici: une seule barque ne lui suffit-elle pas? »

Cette citation démontre que Tristan est bien prêt pour la victoire et il est sûr de

lui de façon indirecte.

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