Sujet d'invention, Horace

SUJET D'INVENTION

Donné le mardi 31 janvier

Page 200 du manuel

- Rédigez les dialogues sous forme théâtrale des personnages figurant sur le tableau de Lethière P 198 et représentant un groupe de femmes éplorées soutenant le corps de Camille face à son frère Horace qui vient de la tuer. Imaginer l'échange qui peut s'ensuivre entre les femmes et Horace au sujet du meurtre de sa soeur.

///…..……..…...DIDASCALIES  

COURT ET VIF OU SINON REPLIQUE DE QUESTION POUR REPONDRE

TIRADE

MONOLOGUE…..……….///

Brouillon

Servante  de Camille : Elise        

Mère de Camille et Horace : Aimée

HORACE revenant sur le théâtre- Ainsi reçoive un châtiment soudain Quiconque ose pleurer un ennemi romain

-------------------------------------------------

ACTE IV, Scène 6

HORACE ,CAMILLE,ELISE, AIMEE

(  Camille sur le sol, inerte. Elise et découvrent la scène )

ELISE- surprise- Ah ! Diable ! Qu’avez-vous fait Horace ?!

HORACE -  tout bas- J’ai vengé Rome…

ELISE -  en criant – Vengé rome ?! Vous vengez Rome en tuant votre sœur, quel acte barbare et lâche !

HORACE – Ce n’est pas un acte lâche, elle a osée insulter Rome,                           la déshonorer,et moi, en tant que défenseur de la cité Romaine, je n’ai pû supporter toutes ces infamies sur Rome.

AIMEE – Cela ne justifie point ton acte, te rends tu compte de ce que tu viens de faire ? tu portes son sang sur tes mains.

HORACE – Lorsque je suis revenu avec les épées de nos adversaires Albains, elle n’a point pleuré pour nos frères, morts au combat .Elle n’avait des pensées que pour son amant, un des Curiaces, les ennemis jurés de Rome , que j’ai fièrement battu pou l’honneur et le rayonnement de Rome.

AIMEE – Penses-tu qu’elle ait agit en conscience ? Elle était anéantie ( elle marque une pause )  tu es tellement fier que tu n’as rien vu. Tu as vaincu tes ennemis, Rome justifiera ton geste envers les Curiaces , mais l’acte odieux que tu as commis envers ta sœur, est lui, impardonnable.

Voiçi ce que Rome à fait de toi, un héros qui ne s’exprime qu’à travers les armes. Je ne te considère plus comme mon fils Horace, je me sens étrangère à cette cité si odieuse et meurtrière.

HORACE  -  hors de lui – Ne parlez pas de Rome comme ça ou je vous réserve la même sentence que votre défunte fille. Je suis le défenseur de Rome  et personne ne m’empêchera de protéger Rome, même vous, mère. ( Horace s’approche du corps de sa sœur )

ELISE -  s’interpose entre Horace et Camille – Tu ne toucheras point une fois de plus à ta sœur

HORACE – C’est à Rome de juger mon geste et de décider d’une quelconque sanction

ELISE – Pour nous le jugement est déjà prononcé, tu est banni, ton geste est impardonnable.

HORACE – C’est à Rome de juger, mais je n’ai aucun regret, quiconque portera un jugement négatif sur Rome obtiendra la même sentence, Rome est, et restera la cité la plus….

...