Par quels procédés l’auteur donne-t-il de l’importance à la pluie
Analyse sectorielle : Par quels procédés l’auteur donne-t-il de l’importance à la pluie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 3 Novembre 2014 • Analyse sectorielle • 750 Mots (3 Pages) • 1 161 Vues
Par quels procédés l’auteur donne-t-il de l’importance à la pluie ?
I) L’observation d’un phénomène scientifique
A) Une explication scientifique du phénomène
-vocabulaire
-démarche scientifique : comparaison pluie horloge + déduction de lois générales de physiques
B) Une perception minutieuse de l’apparence de la pluie
Utilisation de vocabulaire pour décrire l’apparence que prend la pluie quand elle tombe. L2 voir la métaphore qui fait de la pluie un fin rideau.
Utilisation de 3 comparaisons successives de la taille des gouttes de pluie. Ces comparants ont une dimension de plus en plus grosses.
Elles donnent l’impression d’assister à l’intensification de la pluie.
Vocabulaire qui permet de décrire les formes quasi imperceptible que prend l’eau qui ruissèle. « imperceptible ondulations » (l13 et 14) .
« Grossièrement tressée » : métaphore : idée de forme.
Il utilise des synonymes du termes de pluie tout au long du texte pour montrer l’eau changée de formes au fur et à mesure qu’elle tombe: « gouttes », « précipitation », « nappe », « courant », « ruisseau », « filet ».
C) Une description du mouvement de la pluie
Ce poème utilise le champ lexical du mouvement et des verbes de mouvement pour traduire la chute de la pluie et les courants : « tomber », « descendre », « choir », « se brise », « rejaillit », « court », « ruisselle », « coule » .
Il utilise une personnification à la ligne 9 en faisant de la pluie un être humain qui court, ça traduit la rapidité avec laquelle coule l’eau.
Il y a beaucoup d’indicateurs de lieu : « ici », « a peu de distance », « au centre »… qui permettent au lecteur de suivre les déplacement de la pluie d’un lieu à une autre et donc voir son mouvement
II) La contemplation d’un spectacle
A) Un véritable concert
Utilisation d’un vocabulaire qui traduit des sons : onomatopée glou-glou
Minuscules coups de gong : euphémisme
Utilisation d’un parallélisme de construction l20 qui sert à montrer que chaque formes de gouttes de pluie produit un son particulier propre à sa forme.
Non sans délicatesse : litote qui traduit l’admiration du poète pour le concert auquel il assiste.
L24 à 26: allitérations en [l], [g], [q], [s] et assonances en [o] qui miment le bruit de la pluie quand elle tombe.
B) Une expérience fascinante
Le poète associe à la pluie des images enfantines, incongrues :
«
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