Lettre persanes
Commentaire de texte : Lettre persanes. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Nathan Grobon • 26 Décembre 2021 • Commentaire de texte • 710 Mots (3 Pages) • 496 Vues
Introduction :
Célèbre écrivain du 18ème siècle Montesquieu est également penseur et philosophe du siècle des Lumières.
Lettres persanes est une lettre qui à été écrite en 1721.
Les lettres persanes racontent la rencontre entre Rica et les parisiens. Rica est surpris par l’étonnement des parisiens a son arrivé.
Nous nous demanderons comment l’auteur, à travers cette lettre arrive t’il à montrer l’absurdité de la nature humaine mais aussi comment il arrive à faire une satire des hommes.
Après avoir analyser comment on peut tromper les hommes par une apparence nous nous pencherons sur la satire des hommes.
Axe 1 : La tromperie par l’apparence
- L’apparence d’un persan
- La naïveté du peuple
Axe 2 : La satire des hommes
- Une vision satirique de l’homme
- Une satire de la société
Axe 1 :
En effet, lorsqu’il arrive à Paris, Rica à l’apparence d’un persan. Il est donc regardé comme un étranger qui arrive à Paris « Je fus regarder comme si j’avais été envoyer du ciel ». Les parisiens sont très étonner de l’arriver de Rica en habit persan « les habitants de Paris sont d’une curiosité qui va jusqu’à l’extravagance ». Le peuple est agité de cette étonnante arriver et font tout leur possible pour voir Rica « vieillards, hommes, femmes enfants, tous voulaient me voir », « tous le monde se mettait au fenêtre ». Les parisiens exprimait même qu’il avait l’air d’être un persan « Il faut avouer qu’il a l’air bien persan ». Rica avait une tellement bonne apparence lorsqu’il est habillé en persan que les gens ont peur de ne pas l’avoir assez vu « Je me voyait multiplier dans toute les boutiques, sur toutes les cheminées : tant on craignait de ne m’avoir assez vu ». En revanche dès qu’il se sépare de son habit persan il n’est plus regardé de la même manière « Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu’on m’eût regardé ».
Ensuite, le peuple est effectivement très naïf car ils pensent que Rica est habiller est persan alors qu’en réalité il est juste habillé en persan « libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste ». Le peuple est aussi très naïf car à la fin de la lettre ils demandent à Rica comment on peut être persan « Ah ! ah ! Monsieur est persan ? c’est une chose bien extraordinaire ! Comment peut-on être persan ? », en réalité pour être persan il suffit de s’habiller en persan. Le peuple parisien est très naïf car ils pensent que Rica est vraiment persan alors qui à juste l’apparence d’un persan du fait de ses habits « il faut avouez qui a l’air bien persan », lorsqu’il retire son habit persan plus personne le ne regarde alors qu’il est toujours le même « je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu’on m’eût regardé », cette naïveté du peuple est exprimée par Montesquieu de manière satirique.
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Axe 2 :
Ensuite, la lettre est séparée en 2 partit, la première partit est consacré à l’arrivé de Rica alors que la deuxième partit est consacrée aux changements de l’apparence de Rica. La satire de l’homme est surtout présente dans la première partit car l’auteur montre bien que les parisiens son tellement curieux de voir Rica en habit persan qu’ils en deviennent ridicules « Les habitants de Paris sont d’une curiosité qui va jusqu’à l’extravagance ». Cette vision satirique de l’homme s’applique aussi lorsque Rica arrive à Paris puisqu’il est accueilli comme si c’était le dieu « Lorsque j’arrivai, je fus regardé comme si j’avais été envoyé du ciel ». Par cette vision satirique de l’homme Montesquieu veut nous montrer à quel point les Parisiens sont ridicule « si j’étais aux spectacles, je trouvais d’abord cent lorgnettes dressées contre ma figure », « si je sortais, tout le monde se mettait au fenêtre », « si j’étais aux Tuileries, je voyais aussitôt un cercle se former autour de moi ».
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