Les Nouvelles Orientales analyse

Les Nouvelles orientales (M. Yourcenar)

1) Biographie:

Marguerite Yourcenar, pseudonyme de Marguerite Cleenewerck de

Crayencour, née le 8 juin 1903 et morte le 17 décembre 1987 , est une

écrivaine française (naturalisée américaine en 1947). Romancière,

nouvelliste et autobiographe, elle est aussi poétesse, traductrice, essayiste

et critique littéraire.

Elle accompagne son père, homme cultivé et anticonformiste, dans ses

voyages : Londres pendant la Première Guerre mondiale, le Midi de la

France, la Suisse, l'Italie où elle découvre avec lui la Villa d'Hadrien à Tivoli

; elle l'observe, assiste à ses amours dont elle fera la trame de Quoi ?

L'Éternité.

Marguerite Yourcenar est née a Bruxelles d'un père français et d'une

mère d'origine belge, elle grandit en France, mais, c'est surtout à l'étranger

qu'elle résidera par la suite: Italie, Suisse, Grèce, puis Amérique où elle

vivra dans l'île de Mount Desert, sur la côte nord-est des Etats-Unis, jusqu'à

sa mort.

Elle fut la première femme élue membre de l'Académie française en 1980.

En 1929, elle publie son premier roman, inspiré d'André Gide5, d'un

style précis, froid et classique : Alexis ou le Traité du vain combat.

Elle publie les Nouvelles orientales, échos de ses voyages, Feux, composé

de textes d'inspiration mythologique ou religieuse entrecoupés

d'apophtegmes, où l'auteur traite sur différents modes le thème du

désespoir amoureux et des souffrances sentimentales

Son roman Mémoires d'Hadrien, en 1951, connaît un succès mondial

et établit définitivement sa réputation d'écrivain majeur, consacrée en 1970

par son élection à l'Académie royale de langue et de littérature françaises

de Belgique et en 1980 par son élection à l'Académie française.

Le roman L'Œuvre au noir, commencé dès 1923-1924, paraît en 1968 et

fait figure de clé de voûte de l'œuvre de Yourcenar.

Voici quelques unes de ses oeuvres :

Des roman: Alexis ou le traité du vain combat (1929), Le coup de grace

(1939), Dernier du rêve (1959),Mémoire d'Adrien (1951). Des

poèmes: Feux (1936), Les charités d'Alcippe (1956).

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