Invention : alunissage
Thèse : Invention : alunissage. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Malika Bouchebour • 7 Décembre 2018 • Thèse • 913 Mots (4 Pages) • 524 Vues
J’ouvris les yeux, la chute fut brutale, étant blessée mais en vie, lorsque je poussais les portes de la navette spatiale pour demander de l’aide et je me rendis compte que je fus enfin arrivée sur la lune. Je découvris une ambiance différente, que je qualifiai comme lourde mais légère à la fois. Il faisait la même température que sur terre, aucune différence, alors que l’on m’avait rapporté que la température pouvait monter dans les cent degrés le jour et descendre à moins 150 degrés la nuit. Je m’habituais peu à peu à mon nouvel environnement. Ce lieu qui semblait être lumineux n’était pas aussi éclairé que la Terre, c’était assez sombre d’après moi, je découvris les lieux comme une sorte de renaissance. J’apprenais à marcher d’une manière différente que sur terre, je pouvais enfin dire que je gravitais sur la lune. J’utilisai mes sens pour mieux assimiler ce changement. C’était un endroit visiblement vide, mais mon intuition me disait le contraire. J’étais dans la zone éclairée de la lune. Je mettais assise, c’était l’occasion de regarder ce qui m’entourait… je vis la terre, elle était si belle vue de la lune, je m’en serais inspirée si j’étais peintre. Je touchai le sol, il était comme je l’imaginais lisse et doux comme du sable fin avec des cratères par-ci par-là. Je mettais émise l’hypothèse de pourquoi pas aller du coté sombre de la lune, j’avais entendu beaucoup de choses sur cet endroit de bonnes comme de mauvaises et je souhaiterais me faire mon propre avis. Je n’avais pas peur de faire de nouvelle découverte, le contraire signifiait que je me connaissais très mal, je pensais juste être surprise par les différentes choses que j’allais découvrir car je savais qu’il y avait une vie ici, il ne me restait plus qu’à la trouver. C’était décidé je me dirigeais vers la face obscure du satellite naturel de mon ancienne planète. Je marchais sans savoir où j’allais atterrir, je mettais juste fier à ma raison, ce qui m’avait permise de trouver une grande muraille dressé devant moi sur plus de 20 mètre de hauteurs, ce mur était sans contester bien plus grand que moi, du haut de mon mètre soixante-dix je n’étais pas plus grande qu’un Saturnien face à un Sirien. Je mettais mise en tête, que je finirais par trouver quelques choses en longeant cette immense paroi. Ce qui fut le cas, car après un long moment de marche je découvris une énorme porte en fer entrouverte que j’avais poussée pour apercevoir ce qu’il se cachait derrière. J’avais découvert le secret de la zone obscure de la lune. Il y avait bien, comme je l’avais deviné, une civilisation sur la lune. J’apercevais un monde grandiose rempli d’êtres pas plus grand que mes jambes. C’était un univers futuriste comblé de voitures volantes, d’immeubles imposants et d’activités. Un gigantesque dôme en verre servait de protection à ses habitants. C’était tellement éclatant de lumières à l’intérieur que je me posais d’innombrables questions sur la source de cette couleur noire à l’extérieur du dôme. J’étais agréablement surprise car je n’aurais pas pensé une seule seconde trouver un monde aussi beau, j’étais éblouie par ce que je venais de voir, j’étais bouche bée mais j’étais aussi figée. J’essayais d’avancer mais malheureusement je ne pouvais pas, une force surnaturelle me maintenait. Je vis jaillir face à moi une silhouette féminine, qui se différencier de toutes les autres de part ça taille équivalente à la mienne, cette magnifique femme ne pouvait être que l’incroyable Déesse Séléné. Nous, Terriens, n’avions encore jamais mis de visage sur ce nom, je fus la première. Je me prosternais en signe de reconnaissance car c’était grâce à elle que la Terre était ce qu’elle était et permettait à notre espèce de continuer à se développer. C’était à ce moment-là que la divinité et moi-même débutions un dialogue, elle s’avançait lentement vers moi et me demanda : « A qui ai-je l’honneur ?
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