Incipit de Thérèse Raquin

Incipit deThérèse Raquin

• Commentaire

Thérèse Raquin est publié en 1867. D’abord publié en feuilleton, il a réussi à susciter la curiosité du lecteur. Pour ce roman, Zola est inspiré d’un fait divers provenat du Figaro qui relatait l’assassinat d’un mari par l’amant de sa femme. Thérèse Raquin fait sancade car l’ouvrage est perçu comme de la « littérature putride » qui ne met avant que des « scènes obscène ». Dans ce roman naturaliste, Zola étudit scientifiquement le tempérament de deux personnages et de la domination qu’exercent leurs nerfs.

Les ambitions du récit réaliste : être le plus fidèle à la réalité, de rejeter toutes les formes d'idéalisation de la réalité, de représenter la vie sociale sous tous ses aspects. Les thèmes développés dans les romans réalistes sont l'ascension sociale et la chute, le monde du travail, la puissance des instincts, la maladie et la mort et l'absence de spiritualité. Voici la citation de Stendhal à propos du réalisme « Qui se promène sur une grande route » renvois peut-être à l’auteur qui observe ce qui se passe sur cette route.

Le passage du Pont-Neuf est caractérisé avec de nombreux détails par la saleté et l’obscurité.

Un incipit réaliste qui informe le lecteur

Localisation précise : Utilisation de compléments circonstanciels de lieux. Indication de noms de rues réels.

Descriptions minutieuses : un effet réaliste

Un lieu fermé sur lui-même, exigu : Vitres, les vitres, boutiques, vitrines, une muraille, la muraille »

Le passage du Pont-Neuf semble ressembler à un monstre (fantastique) : l’auteur porte un jugement de valeur, « Étrangement […] s’agitent des formes bizarres » est une métaphore

Caractère d’insécurité, sombre, lugubre : champ lexical qui ne donne pas envie au lecteur d’aller dans ce lieu, qualificatifs péjoratifs

Lieu fantomatique

Mort présente : Champ lexical de la mort rendre l’atmosphère lugubre

Personnifications du lieu, malade

Décor qui est planté : Contextualisation spatiale de l’histoire.

L’incipt évocateur la suite…

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