Fiche de lecture La civilisation primitive

Les textes « La civilisation primitive » de Edward Burnett Tylor et celui de Lewis Henry Morgan « La société archaïque » évoquent tous deux l’évolution de l’espèce humaine leur « degré » de civilisation à travers le temps et les différentes nations.

Comme dit dans le texte d’Edward Burnett Tylor, d’un point de vue idéal la civilisation est le perfectionnement général de l’humanité due à une organisation meilleure de l’individu et de la société et ayant pour fin d’augmenter la bonté, le pouvoir et le bonheur de l’homme. Or le progrès ne participe pas forcément au bien de l’humanité. Par exemple, les hommes se sont servis du progrès pour imaginer un système permettant de comprimer la liberté. Il est donc difficile de faire la part des choses entre le bien et le mal.`

La présence de l’homme sur Terre remonte à un âge très reculé. De plus, la race humaine a survécue à d’autres races qui lui étaient contemporaines

L’histoire de l’humanité est liée à la source, à l’expérience et au progrès et les inventions et les découvertes sont en lien direct avec le progrès de l’humanité

On peut comparer au moyen d’exemples positifs les différents degrés de civilisation. La société cultivée d’Europe et d’Amérique évalue le degré de civilisation en plaçant les nations sur une échelle sociale suivant qu’elles s’approchent d’avantage de la vie sociale ou de la vie cultivée. L’observation des lois physiques du monde qui permet d’adapter la nature aux fins de l’homme sont des facultés peu développées chez les sauvages, plus chez les barbares et plus encore chez les nations policées modernes c’est ce qui détermine selon eux le degré de civilisation

Les institutions sociales et civiles se sont développées et offrent une même échelle de progrès

En effet, les institutions, inventions et découvertes quand elles sont comparées tendent à démontrer l’origine de l’humanité, la similitude des besoins des hommes arrivés au même stade de leur développement et la permanence du fonctionnement de l’esprit humain dans des conditions sociales semblables. Ici, l’auteur insiste sur la similitude des conditions sociales, effectivement dans des conditions différentes, les êtres humains évoluent de manière décalée, tandis que certaines nations passent de la sauvagerie à la barbarie et de la barbarie à la civilisation - évolution graduelle de l’homme - d’autres stagnent. Il existe un moyen de mesurer le problème de dvp de la culture qui est de classer les tribus et les nations telles qu’elles s’offrent dans le passé et dans le présent.

Ensuite, Lewis dit que l’état sauvage représente la condition primitive de l’humanité d’où la culture l’a fait sortir par des causes encore actives

Durant l’état sauvage et la barbarie, l’humanité était organisée en gestes, phratries et tribus ce qui a permis à la société archaïque de s’organiser et de se maintenir. Leur structure illustre le dvp de l’idée de gouvernement. Effectivement, les principales institutions remontent à la période de l’état sauvage, se sont développées pendant la période de la barbarie et ont atteint leur maturité dans la civilisation

De plus, on remarque que la famille a pris successivement

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