Dans quel mesure la musique favorise-t-elle l’évasion ?
Dissertation : Dans quel mesure la musique favorise-t-elle l’évasion ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mag Jo • 3 Décembre 2020 • Dissertation • 1 255 Mots (6 Pages) • 1 347 Vues
Dans quel mesure la musique favorise t’elle l’évasion
La musique n’est pas qu’un produit que nous vendons, celle-ci se partage et permet de ressentir différentes sensations. Nous la fêtons chaque année, mais au-delà de ce jour bien précis, nous l’écoutons dans différents environnements. Elle traverse le monde, en passant dans nos salons, dans nos plus folles soirées mais aussi dans la rue, dans nos fêtes de village, lors d’enterrement et de mariage, au prêt des plus malade… Elle fait de nos vies dans, elle se cache partout, mais comment nous permet-elle l’évasion ?
Ainsi, je vais analyser dans un premier temps, un style de musique qui rythme les soirées de façon pas très légale, mais qui permet à des individus une évasion totale, de nos DJ les plus connu aux petites soirées clandestines, celle-ci n’est pas toujours la plus bienveillante, mais permet une évasion totale. Je poursuivrais en montrant comment celle-ci peut aider sur les effets neurochimiques et la santé, des maladies mentales a la relaxation, nous analyserons comment celle-ci agit sur le cerveau.
La musique peut être vécu de plusieurs manière, dans ce premier point je vais me pencher sur les soirées dites Berlinoises, j’aborderais par la suite les fêtes « illégales » qui font de plus en plus de ravages dans la société actuel. Je me pencherais sur l’évasion que cela procure à ces festoyeurs qui ne s’arrête pas seulement à écouter de la musique. Une rêverie qui ne finit pas toujours bien.
C’est dans ce sens que j’aimerais aborder un sujet tabou, qui n’est malheureusement que très peu traité aujourd’hui. Dans ces fameuses soirées dites Berlinoise, commençant souvent tard dans la nuit et continuant parfois des jours entiers, ou la drogue accompagnée de la musique permet à cette population de s’évader entièrement. Après avoir regardé le film Berlin Calling sortie en 2008, racontant la vie du très célèbre DJ, Paul Kalkbrenner, j’ai pus m’apercevoir que celui incarnant Ikarus, a trouvé dans la musique une certaine évasion. Ce film met en scène les dessous de la vie nocturne de Berlin dans les milieux Techno, à travers son histoire nous analysons que celui si à une certaine dépendance à la drogue. Un moment précis de ce film m’a marqué, celui-ci après avoir pris un shoot d’héroïne, prend le métro et s’évade grâce à tous les bruits l’entourant, il crée d’ailleurs une musique très touchante à la suite de cela Train, musique que j’interprète seulement après avoir vue ce film, tous ses bruits associés donne un mélange très harmonieux, mais aurait-il réussi à sortir un morceau d’un tel augure, s’il n’avait pas été dans cette démence. La drogue accompagnée de la musique est pour lui une échappatoire, il associe son évasion par la drogue à des mélodies qu’il doit ressentir différemment. Je trouve que de plus en plus de personne participant à des concerts de Techno veulent partir dans les mêmes démences en reproduisant l’exemple de leurs DJ préférer.
Nous pouvons constater un phénomène semblable lors de soirées illégales, les TEUFs, j’ai lu un article dernièrement, stipulant qu’un jeune groupe d’individus s’étant retrouvé dans un champ pour écouter le fameux groupe : KETA, nom signifiant une drogue de plus en plus prise lors de ses regroupement la kétamine, avez subit une overdose groupée. Je trouve cela alarmant que de plus en plus d’individus très jeune participe à ses événement, pour trembler devant des caissons de musiques en prenant des stupéfiants. Nous pouvons tous nous évader dans la musique, je pense que cela n’est pas toujours fait dans les meilleures conditions. Une lubi dans l’air actuelle, qui commença dès WOODSTOCK, ce fameux festival de musique organisé en 1969, étant devenue un rassemblement emblématique. Celui-ci aurait pu tourner au fiasco par le mélange de drogues et la météo désastreuse. Cet événement est devenu l’un des plus grands moments de l’histoire de la musique populaire. Qui dit WOODSTOCK dit souvent drogue, en plein « flower power » et règne du LSD, les vendeurs de drogue passaient dans les rangs comme au cinéma à l’époque pour vendre les chocolats glacés. Les festivaliers se sont rendus sur ce lieu pour profiter pleinement des plus grands groupes mondiaux, en s’évadant par ce biais. Ce festival fut le premier événement qui m’as fait ouvrir les yeux sur ce style d’évasion.
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