Culture générale : le sentiment d'appartenance à une fonction
Étude de cas : Culture générale : le sentiment d'appartenance à une fonction. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar BertilledeL • 4 Décembre 2017 • Étude de cas • 481 Mots (2 Pages) • 869 Vues
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Le sentiment d’appartenance à une génération est un sentiment fort car le mot génération concerne la famille comme les amis ainsi que l’évolution de la société. Je sais à quelle génération j’appartiens car je m’identifie à cette génération et j’ai vécu des évènements en rapport à cette génération. Depuis que je suis née il y toujours eu des écrans. Cette technologie est normale pour moi je l’ai toujours connue. Mais elle n’a pas toujours été là, elle est propre à ma génération. Nous sommes devenus particulier, notre comportement a changé ; nous ne l’avons pas vu, mais les autres générations le voient et ont du mal à nous comprendre… Anne Caroline Paucot écrit un livre afin de nous comprendre. L’une des caractéristiques de la génération Y est sa communication par l’image, notamment au travers des médias sociaux tels que Snapchat, Instagram ou encore WeHeartItt. Revenons à la manière « d’écrire » : pour nous, l’écriture a sa part d’image. Il y a quelques années, on évoquait dans les milieux concernés le Picture Marketing, mais désormais, on parle de visual content (contenu visuel). D’ailleurs, dans toutes nos communications « écrites » nous ne cessons d’employer des smileys. Mais c’est dans l’air du temps, car depuis 2014, le mot le plus utilisé n’était pas un mot à proprement parler, mais un smiley ! Xu Bing a écrit un livre totalement en émoticônes. Avec le temps, les smileys ont évolué ! Ainsi, dans le passé, on utilisait :),:/, % , *… pour représenter les visages. Mais, si vous envoyez un smiley de ce type à un djeun Y, il va penser : « c’est un vieux » ou «il a un vieux téléphone (pas un smartphone)». Pour moi un livre très connu parle de ma génération, un roman d’anticipation paru il y a vraiment longtemps. Un article du Figaro en parle en employant ces termes : « 1984 c’est maintenant ! » et malgré certaines exagérations il est intéressant de noter qu’il a anticipé notre génération qui est devenue virtuelle et très connectée ; je cite : « La société de surveillance généralisée dont on peut dire qu'elle est aujourd'hui advenue : écoutes téléphoniques hors de contrôle, profilage numérique, déclenchement de webcams à distance, télésurveillance, transparence à outrance. « Ce fut la fin de la vie privée » :nous y sommes. »[pic 2]
Nous sommes dans une France Orwellienne car nous sommes tous, tout le temps, connectés. Nous sommes au courant de tout à chaque moment n’importe quand, il suffit d’une notification sur le portable, d’un message pour que nous sachions ce qu’il se passe à l’autre bout du monde. La technologie c’est fascinant et très pratique si elle ne nous retire pas notre vie privée, car c’est ce que nous avons et si on nous l’enlève on perd beaucoup.
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