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Culture générale

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Par   •  4 Avril 2021  •  Étude de cas  •  1 411 Mots (6 Pages)  •  655 Vues

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Le 23/05/2020

Devoir n°3

1.1/

Le premier document est un article de presse de type informatif intitulé « Les dessous des régimes sans » co-écrit par Catherine Mallaval et Jacky Durand et publié dans Libération le 6 avril 2016.  Ce texte traite de l’augmentation des régimes alimentaires excluant certains aliments comme ceux contenants du gluten ou des lactoses, en s’appuyant sur le témoignage de plusieurs professionnels de la santé, il met aussi en avant le développement d’un nouveau marché florissant concernant le « sans ».

On note plusieurs idées dans ce document, tout d’abord, on relève une multiplication par 2 du nombre de personnes allergiques comparé à 10 ans auparavant d’après l’Académie européenne d’allergie et d’immunologie clinique. Ensuite on peut observer que le marché du « sans » est aussi un effet de mode ou une question d’éthique plutôt lucrative en France puisque les ventes ont augmenté de 42% en 2014 selon le cabinet d’études IRI. Ceci s’expliquerai selon le philosophe Olivier Assouly par la remise en cause des produits fabriqué par les industriels négligeant la qualité afin d’obtenir plus de rendement. Pour l’endocrinologue Jean-Michel Lecerf ces interdits sont fixés dans les esprits par certaines personnes sans connaissances dans le domaine. Il estime aussi que la nourriture est meilleure de nos jours et que les gens souffrants le plus de problème de santé sont les plus pauvres. Pour finir le chef de table Bruno Verjus pense lui que le régime « sans » est plutôt un souci de personnes aisées cherchant à répondre à une norme sociétale.

1.2/

Ce second document est un autre article de presse de type argumentatif portant le titre « Les produits « sans gluten » ne sont pas meilleurs pour la santé », publié par Sud-Ouest le 26 janvier 2016. On cherche ici à nous démontrer que le « sans gluten » n’est pas meilleur pour la santé.

        On peut observer dans ce texte plusieurs idées principal. Tout d’abord, seulement 1% de la population est intolérante au gluten alors que 5 millions de Français ont recours aux produits sans gluten. Ce qui en fait un effet de mode grandement incité par des célébrités. De plus les produits sans gluten ont un coût pouvant atteindre le double voire le quadruple du prix d’un produit avec gluten. En revanche l’association « 60 millions de consommateurs » alerte quant à elle sur les soi-disant biens fait du sans gluten. En effet d’après cette association le « sans gluten » contiendrai bien plus d’additifs relativement néfastes pour la santé.

1.3/

        Ce troisième document est un article de type informatif écrit par Pascale Santi qui l’a intitulé « L’obsession du manger sain », apparaissant dans Le Monde à la date du 22 mars 2012. L’auteur nous informe d’un trouble du comportement alimentaire, « l’orthorexie » qui est l’obsession de manger sain.

        L’article nous fait part de différentes informations concernant l’orthorexie. Premièrement ce trouble du comportement alimentaire n’est pas reconnu par les psychiatres. Les personnes atteintes deviennent obsédées de ce qu’ils vont manger jusqu’à penser que se nourrir sainement peuvent leur éviter les maladies, de vieillir ou de mourir. Ils passent donc un temps considérable à choisir les produits qu’ils vont manger. Pour Claude Fischler membre du comité scientifique de l’Observatoire des habitudes alimentaires, les orthorexiques en viennent à des régimes alimentaires strict tel que le végétarisme ou le végétalisme par peur d’empoisonnement des produits sortant d’usine agroalimentaire. Il y a eu peu d’étude mener sur ce trouble donc dénombrer le nombre de personnes atteintes reste difficile surtout que délimiter le « manger sainement » et l’orthorexie reste très compliquer d’après la sociologue Camille Adamiec. De plus d’après elle souffrir de cette pathologie même à l’isolement social.

1.4/

        Ce dernier texte est un article de presse de type informatif nommé « Le véganisme, sacerdoce à ronger » écrit par Sarah Finger et illustré par une photographie titrée « Menu de lapin », publié par Libération le 16 juillet 2015. Ce texte traite du véganisme, régime restrictif basé sur la cause animale.         

        Dans ce document on relève plusieurs idées importantes. Pour commencer la photographie nous montre différents fruits et légumes sur une table. Ce qui nous laisse penser ou plutôt l’idée que les gens peuvent se faire des repas d’une personne végan. Dans le texte, les personnes interrogés essayent de nous convaincre d’une autre idée. Le Véganisme est né et Angleterre dans les années 50 et exclu tout produit d’origine animal que ce soit pour se nourrir, s’habiller ou même pour le nettoyage. Ils soutiennent la cause animale et dénoncent les conditions d’exploitation de ceux-là. Être Végan en France s’avère relativement compliqué, en effet cette pratique peu répandue dans le pays n’intéresse pas beaucoup de restaurent et de fabricant que ça soit dans les produits ménager ou les vêtements. Cette raison pousse certain végans à l’isolement social ce qui est dénoncé par Olka. La plupart des végans le sont devenus après avoir regardé des vidéos des conditions animales dans les élevages et abattoirs.

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