Autobiographie cas
Mémoire : Autobiographie cas. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Fadi Livb • 28 Février 2016 • Mémoire • 513 Mots (3 Pages) • 612 Vues
Autobiographie – Inventer un personnage et raconter deux de ses chagrins sous forme autobiographique. Votre texte fera 30 lignes et vous écrirez de façon lisible et claire.
Je m'appelle Nicolas et je vais vous présenter mes chagrins:
-) Durant mes quinze ans de vie, comme tout le monde, j’eus beaucoup de chagrins, mais celui-là, je m’en souviens particulièrement car, selon moi, ce fut le premier. Je venais d’avoir cinq ans. Tous les ans, mes grands-parents paternels organisent une fête familiale. Tous mes oncles, tantes, neveux, nièces, cousins, cousines, sont présents.
Je m’en souviens comme si c’était hier: c’était dans une salle, et comme chaque année, les petits enfants (cousins, cousines et moi) préparaient une danse. Sauf que, pour une fois, mes cousines, plus âgées que moi, ont refusé que je fasse la danse avec elles. Elles disaient que j’étais trop petit, et en plus, je n’avais pas le même costume qu’elles. Mais moi, je répétais les pas de la danse pour la faire quand même. Malheureusement, quand la musique a démarré, ma cousine m’a dit que c’était impossible que je la fasse alors je me suis mis à pleurer car faire cela me tenait vraiment à cœur. En effet, je la connaissais par cœur et à cet âge-là, on n’aime pas entendre qu’on est trop petit pour faire quelque chose dont on est capable. J’avais une personnalité assez têtu et je n’avais pas l’habitude que l’on me dise non. J’ai beaucoup pleuré ce jour-là, et, pour me calmer, ma mère m’a prise dans ses bras.
Il faut un début à tout, et ce jour fut le début de mes chagrins…
Une autre histoire qui me marqua était il y a une petite dizaine d’années, lorsque j’allais, tous les jours, au jardin d’enfants. Là-bas, j’avais énormément d’amis. Tout le monde m’adorait du peu que je me souvienne. Et c’est aussi là-bas que j’ai rencontré mon premier « Grand Amour ». J’aimerais beaucoup vous dire comment elle s’appelait, mais faudrait-il que je m’en souvienne ! D’après moi, elle s’appelait Marie, mais ma mère est persuadée qu’elle s’appelait Alice. Bref, nous étions inséparables. Nous passions nos journées ensemble. Je me souviens d’un mardi gras où elle était déguisée en coccinelle et moi en pirate. C’est un des plus nets souvenirs que j’ai. Je me souviens aussi que nos mères étaient amies. J’allais donc souvent chez elle et elle aussi venait à la maison. La chose la plus drôle, si on peut dire ça comme ça, c’est que lorsque nous étions petits, sa mère attendait un enfant. Une fille plus précisément. Puis nous nous sommes éloignés, chacun dans une école différente… Et quelques années plus tard, lorsque j’étais dans la rue avec ma mère, nous le croisâmes, elle, sa mère et sa sœur. Vous ne devinerez jamais comment elle s’appelle! Nicolas! Et sa mère nous expliqua que c’était elle qui avait demandé à ses parents que l’on appelle sa sœur comme ça. J’ai trouvé ça plutôt drôle, mais quand je me rappelle de lui, je me dis que c’est sûrement avec lui que ce sont déroulés mes meilleurs souvenirs d’enfance.
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