Analyse livre "economica" par Julien Pierre
Compte rendu : Analyse livre "economica" par Julien Pierre. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Candice36 • 1 Février 2022 • Compte rendu • 1 663 Mots (7 Pages) • 413 Vues
Pour commencer, une présentation rapide de ce livre est nécessaire. Il a été écrit en 2015 et publié aux éditions Economica, fondée en 1971 avec pour secteur de prédilection l’économie. Son auteur, Julien Pierre, est maître de conférences à la Faculté des sciences du sport de l’Université de Strasbourg. Il est également docteur en STAPS, membre de l’unité de recherche « Sport et sciences sociales ». Depuis 2004, il est également journaliste pour Sport Stratégies, un magazine professionnel spécialisé dans l’actualité du marketing sportif.
Ce livre débute par l’approche de l’entreprise et nous explique son fonctionnement. Le premier chapitre démontre que les méthodes de management ont évolué au fil du temps. Le second chapitre poursuit sur l’une de ces méthodes et son évolution au cours de l’histoire, le sport. Le chapitre 3 est le plus intéressant pour répondre à mes questionnements lié à ma problématique : j’ai appris qu’il y a eu deux pratiques de sport en entreprise, la méthode hard et l’autre soft. Et l’une des deux n’a pas fonctionné. En effet la méthode hard poussait les salariés dans leur retranchement. Cela prouve que le sport en entreprise n’est pas toujours efficace. Pour continuer, le chapitre 4 nous montre la motivation des pratiquants, on peut prendre l’exemple de la convivialité et du fait que les employés créent un lien social en dehors du travail. Ce qui est bénéfique pour l’entreprise et le travail « collectif » ou encore la communication.
Mais ce chapitre nous rappelle aussi qu’il y a les « non-pratiquants ». Cela peut créer un fossé entre les sportifs et non-sportif et exclure une partie des employés. Là encore, se pose la question de l’efficacité de ce management : il faut veiller à na pas scinder l’entreprise en deux.
Le chapitre 7 nous en dit davantage sur les effets du sport au travail et on remarque que la liste des bienfaits est conséquente. On peut noter que tout cela s’appuie sur des études, des témoignages et des exemples concrets tirés des entreprises comme Décathlon ou encore Adidas. On retiendra de ces interviews que le sport apporte une amélioration physique (contrôle de son corps) et mental (moins de dépressions) des employés. Ensuite on développe les bienfaits social. Un employé venant d’arriver à tissé des liens avec ces collègues mais grâce au sport. Et enfin des études ont montré l’augmentation de la productivité et la diminution de l’absentéisme. Ce 7ème chapitre est tout à fait en lien avec ma problématique car il livre les clés des effets positifs du sport au travail et montre par ailleurs que s’il est bien réalisé, avec une bonne mise en place, un encadrement externe ou interne, le sport peut-être véritablement avantageux pour les employés, pour leur bien-être personnel et leur santé. Cela se ressentira donc dans leur travail et surtout leur productivité.
Les objectifs de ce livre sont clairs. Il nous montre comment le sport peut permettre de manager efficacement. Ensuite il nous indique la façon de faire du sport un outil de management efficace ce qui rejoint ma problématique. Cela nous amène donc à développer que le fait que le sport est au service de la santé des salariés et de l’entreprise. Tout cela dans le but de développer et promouvoir efficacement le sport au sein de l’entreprise. Pour cela, il nous livre les clés de la réussite.
Dans cette revue, j’ai privilégié certains passages plus pertinents par rapport à ma problématique.
Pour commencer, sans pour autant dire que le sport en entreprise aide à la performance des employés, on apprends que le ministère a mis en place des moyens pour développer le sport à différentes échelles allant jusqu’aux employés.
La revue nous confirme ce que l’on a vu jusque-là avec les documents précédents. Les entreprises ont pour but de créer des liens, un groupe social au sein de l’entreprise. Et l’un des grands principe sociologique pour réaliser cela est que les employés fassent la même activité et créent des échanges. De plus, les employés se sentiront reconnu donc valorisés. Cela peut amener à accroitre certaines qualités que l’on verra un peu plus tard. C’est pour cela que les entreprises se tournent vers le sport.
Dans le II, on développe l’idée que le sport est instrumentalisé au sein de l’entreprise. L’objectif des entreprises est clair : rester performant et compétitif. C’est pour cela qu’il existe des compétitions pour les employés, entre les différentes entreprises. C’est ici que l’on peut faire le rapprochement avec mes questionnements. En effet ce type d’événement va développer les qualités des employés comme la combativité, la volonté, le courage, la compétition mais aussi la loyauté et surtout l’esprit d’équipe. C’est ainsi que l’on va voir l’efficacité de l’employé augmenter. Et oui, les qualités requises en sport sont les même que celles demandées au travail.
Ensuite les entreprises prennent davantage soin de leurs employés, comme par exemple TF1 ou Bouygues qui ont mis en place des espaces formes avec le suivi de la santé des employés.
Cela nous confirme totalement les idées développées dans le livre précédemment étudié. Mais ici on met davantage en avant le fait que le sport est une instrumentalisation dans le but de performer donc penser essentiellement à l’entreprise tandis que le point de vue de Julien Pierre était plutôt la performance certes mais aussi le bien-être des salariés.
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