Expression libre : Temple
Compte rendu : Expression libre : Temple. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar encdqzcjnsd • 25 Mai 2023 • Compte rendu • 441 Mots (2 Pages) • 311 Vues
Récit :
Je me suis rendu au Pavillon Populaire, un samedi aux alentours de midi. En premier lieux j’ai découvert l’exposition Edward Burtynsky. Une femme à l ‘accueil m’a proposé un petit livret où sont décrits les différentes photographies et les intentions d’Edward Burtynsky. Elle m’a aussi dictée quelques règles de base. Ensuite, je me suis enfoncer dans une première salle très lumineuse aux murs blancs. 2 photographies (Delta du Colorado n°2 et Centrale géothermique de Cerro Prieto ) m’ont attirées et surprises de par leur splendeur, leur grandeur et l’immensité par rapport a notre échelle d’humains et les couleurs étaient incroyables, du bleu que l’on ne peut point déterminer, du blanc qui est flou. Au fur et à mesure que j’observais les photographies je n’arrivai pas à me situer dans l’espace, j’avais l’impression que le photographe avait pris ces photos de très loin et en même temps de très près comme la photographie Xilodu Dam n°1. C’était amusant et spéciale, on aurai dit des peintures irréelles ou fictives. Je continuais mon chemin lorsque des photographies qui mettaient en avant la pollution m’attirèrent, l’artiste réussit à mettre en valeur quelque chose de sale et dont on voudrait s’èloigner. J’ai aimé cette exposition qui m’a été enrichissante.
Dans le cas contraire, l’exposition d’Abdoulaye Konaté m’a paru banal et anodine. Je n’ai pas réussir à voir un message derrière les œuvres, c’était assez esthétique et je n’ai pas trouvé ça enrichissant.
Commentaire d’une photographie :
Nous allons analyser une photographie qui m’a frappée, ça semble irréelle. Cette photographie que nous allons analyser s’intitule Manikarnika Gath et a été réalisé en 2013 à Varansia en Inde par Edward Burtynsky. Nous allons clairement voir pourquoi cette photographie m’a interpellé.
Au premier plan, en bas, on peut observer un homme alimentant un foyer pour la crémation des corps. Plus bas on peut voir des cendres qui sont dans l’eau. Une dame m’a expliqué que les plus pauvres brûlent le corps au bord de la rivière car ils n’ont pas les moyens de s’acheter un bateau. C’est ce que font les plus riches comme on peut le voir en bas à droite de la photographie, il y’a un bateau où le corps du défunt est recouvert de bois et la tradition veut qu’on le brûle sur le bateau et qu’il soit emporté d’où la couleur de l’eau noire. Les riches assistent à la scène du haut des marches.
A travers cette image on peut voir une inégalité sociale en bas les pauvres et les morts et en haut des marches, bien habillés pour la cérémonie les riches.
La photographie est coupée en plusieurs étages :
En bas, la rivière et les défunts.
Au milieu, les familles en deuil.
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