Culture générale : la géolocalisation

GÉOLOCALISATION                                                                

Deuxième partie

Suite à cela, une question se pose : les citoyens-nes sont-ils/elles responsables de cet état de fait ?

C. Segal énumère à la troisième ligne « le plus étrange est que tout ceci semble nous laisser relativement indifférents » ce qui caractérise un sentiment de détachement.

De plus, C. Segal confirme ses dires en écrivant « La technologie façonne notre comportement » et « nous laissons la technologie nous faire croire que la surveillance n'est pas grave ».

Tout cela décrit une indifférence sociétale.

La technologie est considérée comme une norme sociétale.

Selon G. Dupuy, la surveillance et la collecte systématique des données personnelles font désormais partie du paysage quotidien. Il note que « Les poseurs de questions ne sont pas légion » ce qui signifie qu'ils ne sont pas nombreux.

De surcroît, G. Dupuy confirme dans sa dernière phrase que « La société de surveillance s'est banalisée».

Il fait comprendre aux lecteurs que la surveillance est devenue normale et qu'elle fait partie des mœurs pour qu’ainsi les lecteurs se demandent si cela est normal que la surveillance soit normale.

P. Geluck illustre l'endroit précis de la localisation de son chat et celui-ci se dit que « Les nouvelles vont vite » sans se poser d'autres questions. Il vit avec…Ce qui fait état également d'une indifférence sociétale.

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