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Victore Hugo

Mémoires Gratuits : Victore Hugo. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  21 Mai 2015  •  565 Mots (3 Pages)  •  1 071 Vues

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Victor Hugo est né le 26 février 1802 dans une famille bourgeoise en France plus précisément à Besançon. Il a vécu à Paris et à Madrid durant son enfance et retourne en France avec sa mère et son frère à l'âge de 9ans. Âgé de 13 ans Victor Hugo entre au pensionnat "Cordier" et commence à écrire ses premières poésies. A 19ans il publie son premier recueil de poésies nommé "Odes". A 20ans il se marie avec une certaine Adèle avec qui il eut 5 enfants et l'a trompe par la suite. A l'age de 39ans Il est accepté à l'académie française. Il publie en tout recueils de poésies et meurt à Paris le 22 mais en 1885 âgé de 83ans.J'ai choisi de prendre 2 poèmes de Victor Hugo, tous deux tirés du recueil nommé " les contemplations" publié en 1856. Ces deux poèmes sont traités sur le thème de l'amour. J'ai choisi ces deux poèmes : " Lise " et " Je respire où tu palpites " car en les lisant j'ai de suite accroché. De plus, en se qui concerne l'auteur, j'avais déjà lu quelques poésies de lui et je les appréciais un peu.

Poème n°1 :

Référence : recueil de poésies " les contemplations "

Titre du poème : Lise

J'avais douze ans ; elle en avait bien seize.

Elle était grande, et, moi, j'étais petit.

Pour lui parler le soir plus à mon aise,

Moi, j'attendais que sa mère sortît ;

Puis je venais m'asseoir près de sa chaise

Pour lui parler le soir plus à mon aise.

Que de printemps passés avec leurs fleurs !

Que de feux morts, et que de tombes closes !

Se souvient-on qu'il fut jadis des cœurs ?

Se souvient-on qu'il fut jadis des roses ?

Elle m'aimait. Je l'aimais. Nous étions

Deux purs enfants, deux parfums, deux rayons.

Dieu l'avait faite ange, fée et princesse.

Comme elle était bien plus grande que moi,

Je lui faisais des questions sans cesse

Pour le plaisir de lui dire : Pourquoi ?

Et par moments elle évitait, craintive,

Mon œil rêveur qui la rendait pensive.

Puis j'étalais mon savoir enfantin,

Mes jeux, la balle et la toupie agile ;

J'étais tout fier d'apprendre le latin ;

Je lui montrais mon Phèdre et mon Virgile ;

Je bravais tout; rien ne me faisait mal ;

Je lui disais : Mon père est général.

Quoiqu'on soit femme, il faut parfois qu'on lise

Dans

...

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