Victor Hugo

Dans ce corpus, nous avons trois textes, tous issus du même auteur qui est Victor Hugo (1802-1885). Le premier texte est un extrait de Les Contemplations, un recueil de poèmes (1856), et les deux autres proviennent du même livre, Les Misérables (1862). Dans un premier temps Nous nous demanderons alors quelle est la visée commune de ces textes qui proviennent tous les trois du même auteur et dans un second temps nous nous demanderons ce qui distingue chaque texte des deux autres.

Ces textes, présentent un thème commun, celui de l enfant misérable, que nous étudierons en accentuant la visée commune a ces trois texte.

On constate , que tout trois utilisent le registre pathétique

En effet , le premier texte, Mélancolia, est marqué par un lexique de la compassion, on le constate grâce termes évoquant la misère et la douleur ""maigre»; «blême" "vers 2,"pas de pain", "pas d 'argent «vers 7

on constate aussi un vocabulaire affectif , la tristesse , avec les terme: «cœur qui se déchire «vers10 et "deuils, et pleurs" vers47

Afin d émouvoir ,ce texte se forme sur la ponctuation, comme des questions oratoire vers 44"mais que faire?" et des exclamations dans la plus grandes partie des vers.

De le second texte, les misérable, utilise une ponctuation expressive, c'est à dire des questions : quand me payeras tu coquine » vers 26, et des exclamations dans l'ensemble du texte.

Victor Hugo utilise des figures de styles pour accentuer l'émotion "elle se trouvait dans la rue, elle les retrouvait dans les escaliers" montrant le monde hostile que crée la société a Fancine. Enfin, ce texte se compose à partir du champ lexical de la souffrance avec les termes "douleur fixe à l’épaule "(l19), "toussait beaucoup"(l20) et le champ lexical de la mort, "grave maladie «l32 et "fille publique «montrant la fin de sa vie.

Le texte 3, les misérable, est structuré de la même manière que les deux autres textes du corpus, notamment avec le vocabulaire de la douleur, de la souffrance avec les termes l 4"a la faim", " au froid " à l'isolement'. Au l15, on observe une comparaison comparant la mort au sommeil pour susciter chez le lecteur la souffrance. Enfin, le texte est marquée par une abondance de ponctuation, comme des exclamations par exemple.

Après l'étude analytique et stylistique de ces trois textes de Victor Hugo, nous remarquons que la visée commune de ces trois textes est l'argumentation à travers le registre pathétique

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