Victor Hugo

Francais

Corpus:

Nous avons affaire ici, à un corpus de quatres textes, portant tous sur la poésie; le premier texte est de Victor Hugo, un poète, dramaturge et prosateur romantique considéré comme l’un des plus importants écrivains de la langue francaise, a écrit "L'araignée et l'ortie" au 19ème siecle, le deuxième texte est de José Maria de Hérédia, "Midi" publié dans le recueil "Les Trophés"datant du début du 19eme siècle, il est un poète, c'est un des maîtres du mouvement parnassien. Puis, le troisème texte est de Francis Ponge, poète francais, qui a écrit "Ode inachevée à la boue" en 1962. Enfin, le quatrième texte est de Philippe Jaccottet,  écrivain, poète, critique littéraire, a écrit "Fruits" en 1961 et 1964.

Il s’agira ici de montrer que ces poèmes évoque le monde sensible.

On peut voir que ces 4 textes possédent beaucoup de figures de styles, plus particulièrement des métaphores afin de décrire la nature autrement. Ainsi dans le texte de Victor Hugo, il tente de nous convaincre de percevoir autrement l'araignée et l'ortie. Au vers 1, "j'aime l'araignée et j'aime l'ortie" Victor Hugo veut ainsi montrer qu'il aime les araignés et les orties comparé à nous, les hommes. C'est ainsi avec ce poème il veut montrer un monde sensible, fragile en utilisant les animaux et la nature. Le texte de José Maria de Heredia veut aussi apporté une image sensible pour cela il utilise plusieurs métaphores sur la nature. Ainsi il décrit la nature en exagérant "au velours sombre et doux des mousses d'émeraudes" au vers 4, il décrit un monde merveilleux. On peut voir que dans le texte de Francis Ponge, il décrit aussi la nature, mais plus particulièrement il décrit la boue en exagérant aussi "Tu es si belle, après l'orage qui te fonde, avec tes ailes bleues! " au vers 13, ainsi il decrit la boue méliorativement ce qui apporte une image délicate, ravisssante. Enfin, le texte Philippe Jaccottet decrit aussi la nature, mais ici il est question de fruits. Pour ceci, il les décrit en exagérant méliorativement pour afin de donner une vision merveilleuse. Pour cela il utilise un métaphore filée "dans les chambres vergers...la lumiere est parfum" au vers de 1 à5, ainsi il commence a décrire un verger pour finir en decrivant plus particulierement les fruits. Ainsi, il donne une vision du monde fragile et sensible.

Enfin, tous les auteurs de ces quatres textes imaginent un monde merveilleux, ravissant, sublime, délicat, fragile, pour cela tous ces auteurs utilisent la nature. Ils la décrit autrement que nous, les hommes la voient. De la sorte a crée un écart avec le réel, ils le transfigue. Ainsi, chaques auteurs des ces 4 textes veut apporter une image positive de la nature et évoquer un monde sensible.

Il s'agit ici de voir le rôle que Hugo et Ponge accordent à leur deux poèmes.

Ces deux textes, l'un de Victor Hugo et l'autre de Francis Ponge veut dénoncer la même chose. Ces deux poètes valorisent ce que les autres hommes détestent. Victor Hugo montre que les hommes haient les araignée et les orties alors que lui les aimes au vers 1 et 2. De plus, il se justifie à chaque strophe en utilisant l'anaphore "parce que" et ainsi la répétition a un côté provoquant. Egalement, le texte de Francis Ponge quand a lui décrit positivement la boue alors qu'il sait aussi que les hommes ne l'aime pas "boue si méprisé, je t'aime" vers 9.

Ainsi, ces deux poètes veut réhabiliter un monde sensible. Pour cela, ces poètes voient le monde par un regard extérieure et veut montrer par ces deux poèmes à réapprendre à voir le monde d'une autre manière.

Commentaire:

Le poème Midi, apparaît dans le receueil "Les Trophées" ecrit et publié par José Maria de Heredia en 1893. C'est un poète francais, il a participé au mouvement littéraire du Parnasse. Il est né en 1842 et meurt en 1905. Ce poème est question de la nature et des rêves, mais aussi du bien-être. Ce poème appartient au registre laudatif, et aussi au registre lyrique. C'est un sonnet car il est composé de deux quatrains et de deux tercets, de plus il est composé de 12 syllabes donc c'est un alexandrin. On a donc une forme régulière qui donne en rythme calme au texte. On voit que ce premier quatrain possède des rimes embrassées, maraude v1, soleil v2, pareil v3, émeraude, v4. Le deuxième quatrain contient aussi des rimes embrassées, rôde v5, sommeil v6, vermeil v7, chaude v8. Et, le premier tercet, contient des rimes suivies rayons v9, papillons v10, sèves v11 et enfin le dernier tercet contient des rimes suivies, fil v12, subtil v13, rêves v14. Il s'agira ici de montrer l'image apporté à l'évocation du monde sensible en utilisant la beauté de la nature. Dans un premier temps, le commentaire débutera par l'omniprésence du monde sensible et enfin de montrer que l'écriture poétique transfigure la vision du monde.

Dans un premier temps, nous allons étudié la présence du monde sensible dans le poème. Tout d'abord on va étudié que la présence de la nature tout au long du texte. Puis, nous allons voir la sensiblité

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