Victor Hugo
Dissertations Gratuits : Victor Hugo. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 23 Octobre 2013 • 422 Mots (2 Pages) • 1 247 Vues
délaissé par le Roi, elle reste à la cour jusqu’en 1691, puis se retire dans un couvent où elle terminera ses jours
Mes recherches m’ont encore prouvé que toutes femmes ayant eu une relation avec les rois de leurs époques, ont été forcément laissées à une période de leurs vies, les laissant mourir seules à la fin de leurs vies.
3. Un apologue est un court récit chargé d’illustrer une thèse explicite. Ce qui est exactement la définition d’une fable. Celles de La Fontaine sont donc des apologues. Il le dit lui-même : « Nous voyons que la Vérité a parlé aux hommes par paraboles ; et la parabole est-elle autre chose que l’apologue, c’est-à-dire un exemple fabuleux, et qui s’insinue avec d’autant plus de facilité et d’effet qu’il est plus commun et plus familier ? [...] L’apologue est composé de, dont on peut appeler l’une le corps, l’autre l’âme. Le corps est la fable ; l’âme, la moralité. » (Préface des Fables). Mais plus c’est beau et moins c’est simple. Le projet de La Fontaine est très différent : il s’agit non pas de soumettre le récit à l’idée qu’il est censé illustrer, mais de jouer sur la tension entre les deux genres pour donner une force nouvelle à la fable. Il a donc développé l’art du récit, en même temps qu’il lui a donné une valeur souvent plus philosophique que purement morale. En somme chez lui, « l’apologue est un mélange instable » (Jean-Michel Messiaen), toujours au bord du déséquilibre.
V. La Fontaine, témoin de son temps.
La Fontaine dresse un large panorama de la société de son temps. Il peint à la fois les grands (le roi et les courtisans) et les petits (les paysans, les artisans).Le roi est critiqué : incarné par le lion, il se montre orgueilleux, tout puissant et souvent injuste. On redoute sa cruauté (le Lion, le Loup et le Renard) même s'il sait parfois se montrer généreux (le Lion et le Rat). Le portrait des courtisans est plus négatif encore : ils sont décrits comme des parasites, des « machinateurs d'impostures » (le Berger et le Roi), des flatteurs (le renard dans la Cour du lion et dans Le Lion malade et le Renard).Les gens de la campagne sont eux aussi présents : bûcherons, bergers et paysans pauvres peuplent les fables. La Mort et le Bûcheron donne une excellente description de la vie paysanne du xviie siècle.
VI. La Fontaine moraliste : la satire des défauts humains
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