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Mon grand-pere,cgace

Fiche : Mon grand-pere,cgace. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  21 Juin 2016  •  Fiche  •  388 Mots (2 Pages)  •  863 Vues

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Un soir plutôt normal, avec quelques amis, mais je ne pensais jamais que tout basculerais.

France, Saint-homer,27 juillet,22h30.Il est temps de partir ,il se fais tard pour la route en plus d’avoir un temps maussade. Je mets le pied dehors pour me diriger vers la voiture alors que je constate qu’il pleut abondement et qu’il a un orage et quelques éclairs. Des rassurements par nos amis, de ne pas partir, cela pourrait être dangereux. Mais nous devons partir, l’avion est à 8h30 le lendemain. Et puis qu’est ce qui peut bien nous arriver?

Nous sortons de l’entrée de ces chers amis, que nous manquons tant, les voir une soirée par ans n’est pas très convenable. Sur cette route ou il n’y a personne, personne ne veut s’y aventurer. Je vous explique la voiture que nous avions pris n’est pas la nôtre mais bien celle de mon grand-père. Une voiture plutôt vielle, une 307.Elle à quelque problèmes techniques, le frein bloque. Mais bien comme mon grand-père disait ce n’est pas très grave. Bon revenons à cette soirée. Alors ensuite sur cette route, beaucoup de pluie sur la vitre avant, nous ne voyont rien, tout est embrouiller, dans la noirceur de la nuit. Moi je tremblais parce que quelques éclairs tombait dans les champs a quelques pas de nous mais comme mon grand-père disait rien de très grave. Clic clic clic clic, le frein bloque .Mon père ne peut plus rien contrôler, c’est le contrôle de la voiture maintenant. Beaucoup de pluie, d’orage, d’éclairs et de peur. Je tenais fermement la poignée de la porte comme si cela allait apporter quelques chose…le contrôle es finalement repris par mon père. Mon souffle reviens alors qu’il était retenu. Fiou! Trop vite content nous ne prenons pas compte de la route qui devenait de plus en plus dangereuse .Une main sur mon bras en signe de réconfort. Je lève la tête, un arbre sur la route. Un cri, deux cris. Tout a basculé dans ce virage. Sous la noirceur de la nuit, le frein s’est bloqué une autre fois, la foudre à emporter cet arbre sur cette pauvre route. Cette route de malheur, cette voiture de malheur, cet arbre de malheur. Tous deux étendus sur le sol, deux âmes perdue à jamais. Étendus, souffle absent, mais comme mon grand-père disait ce n’est pas très grave.

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