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Arthur Rimbaud Du Point De Vue De Verlaine

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Par   •  10 Mai 2015  •  1 107 Mots (5 Pages)  •  1 762 Vues

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Contexte : J’interprète Verlaine interviewé par la presse de l’époque et je rédige mon travail en répondant à cette question : Qui est Arthur Rimbaud ?

J’ai eu la chance de connaitre ce génie grâce à une de mes connaissances travaillant aux contributions de Charleville, Auguste Bretagne. Ce dernier a vivement encouragé le jeune poète à m’écrire malgré ses dix-sept ans. Dès la lecture d’un de ses poèmes j’ai été conquis. Je me suis empressé de les diffuser dans mon cercle d’amis et ai prié Arthur de me rejoindre à Paris avec ces mots : « Venez chère grand âme, on vous appelle, on vous attend ! ». Il s’est donc rendu à Paris en 1871 avec dans la poche : le « Bateau ivre », fraîchement écrit. Il a logé chez mes beaux-parents mais à cause de son attitude provocatrice et rebelle, ce dernier s’est rendu indésirable et est contraint de trouver refuge chez mes amis Charles Cros, Forain et Banville. En 1872 Nous avons mené une existence assez décadente participants aux dîners des « Vilains Bonshommes » et aux réunions du « Cercle Zutique. Ma femme, excédée, a décidé de quitté Paris avec notre fils. Elle n’a accepté de rentrer qu’à condition que Rimbaud parte. C’est ainsi qu’en mars il a regagné les Ardennes mais je ne pouvais me passer de lui j’ai donc réussi à convaincre ma femme de le laisser revenir. Nous sommes partis pour la Belgique le 7 juillet mais lorsque ma femme a découvert les lettres que nous nous sommes adressées entre le mois de février et le mois de mai elle est venue à Paris pour me récupérer. J’ai d’abord accepté de rentrer avec mon épouse mais je me suis défilé et ai décidé de me rendre à Londres ave Rimbaud. Nous avons vécu dans la misère et pour ma part, j’étais préoccupé par ma femme, c’est ainsi que Rimbaud las des « vas et viens » de mes sentiments a à nouveau décidé de gagner les Ardennes. En mi-Janvier de l’année suivante je me suis senti seul, malade et désespéré toute ma famille ne m’intéressait plus ! Le seul que je voulais, s’était lui. Ma mère a toujours été prête à œuvrer pour mon bonheur et a donc envoyé de l’argent a Rimbaud pour couvrir le voyage jusqu’à Londres. C’est ainsi qu’il m’a rejoint en Avril et que nous avons gagné la Belgique, il s’est cependant vite lassé de nous et est repartit dans sa ferme familiale à Roche. Il y a entamé la rédaction de « Une Saison en Enfer » mais Arthur s’est vite ennuyé à Roche malgré quelques rencontres avec moi et Delahaye. Au mois de mai, j’ai réussi à l’entrainer de nouveau à Londres. Cependant les disputes se sont succédées et j’ai commencé à me demander si une rupture n’était pas nécessaire. Je l’ai finalement abandonné sans un sou à Londres avec l’idée en tête de reconquérir ma femme et me suis rendu à Bruxelles. Suite à un échec j’ai supplié Rimbaud de me rejoindre et il m’a rejoint mais le bonheur a été de courte durée… Suite à un excès de colère issu d’une querelle, moi Paul Verlaine ai tiré deux coups de feu vers l’aine gauche d’Arthur Rimbaud. Ma mère et moi l’avons rapidement conduit à l’hôpital Saint-Jean où il a été soigné. Ma mère m’a vivement conseillé de laisser partir Rimbaud mais je ne pouvais me résoudre à le quitter. Sur le trajet menant à la gare du midi, m’étant résigné à laisser partir Rimbaud, la folie a guidé ma main

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