Aide médicale à mourir
Dissertation : Aide médicale à mourir. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar FBI_Prince • 16 Mars 2024 • Dissertation • 954 Mots (4 Pages) • 131 Vues
Dissertation Finale
Aide Médicale À Mourir
Travail présenté à :
Cette année, j’ai déposé mon C.V. dans un centre d'hébergement et de soins de longue durée (CHSLD). Heureusement, je me suis fait embaucher. Comme à tous les jours, il y avait une rencontre des infirmières à la quelle tout le monde avait le droit ou non de participer. Cette fois, madame X était consciente de sa souffrance et voulais mettre fin à ses jours pour alléger sa souffrance. Selon le service de santé du Canada, en 2021, 487 personnes ont été jugées admissible à l’aide médicale à mourir ce qui représente 4% des cas. Tout ceci peut nous amener à nous poser la question : Est-il moralement acceptable d’offrir l'aide médicale à mourir (AMM) pour les personnes en souffrante phase terminale qui le demandent de manière volontaire ? Si l’on répond selon Kant, C’est que l’on accorde beaucoup d’importance au bien commun. Cela nous amène à privilégier l’intention d’accomplir son devoir. Au contraire, Si l’on pense comme les utilitaristes, alors ce qui est importé c’est plutôt le maximum de bonheur. Face a cette question, les deux philosophes serait du même avis.
Si l’on pense comme Kant et selon sa philosophie, La réponse serait mitigée. Avant de continuer, nous allons supposer que le malade en contexte rempli les multiples conditions pour avoir l’aide médical à mourir. Selon Kant, une action morale étant celle qui n’a pas de but égoïste, qui n’est pas faite en fonction d’un but postérieur et qui n’est pas uniquement le fruit d’un penchant naturel. Une action égoïste est une action qui est faite dans le but de se procurer un plaisir personnel. Cette théorie traite bien la question à l’aide des concepts décrits plus haut, car ça traite la question sur plusieurs angles tels que : qui est ce que la décision impact, a qui elle profite et quels sont ces conséquences. D’un côté plus pratique, mettons en contexte un patient qui fait recourt à l’aide médical à mourir uniquement pour arrêter sa souffrance, sans consulter personne alors ce serait immorale et non acceptable dans ce cas, car c’est un égoïste de sa part. Dans une autre situation un peu similaire ou le même patient, fait appel a sa famille, leur fait comprendre qu’il/elle ne veut pas être un fardeau pour eux, alors ils se mettent tous en accord. En plus que les proches sont d’accord avec la décision et qu’il veut atténuer sa souffrance alors c’est moral dans ce cas, car C’est une décision venant juste de lui, ça n’a pas de but postérieur et ce n’est pas uniquement le fruit d’un penchant naturel. On peut donc dire que l’action est morale dans ce cas.
Si l’on pense plutôt comme les utilitaristes, il serait acceptable d’offrir l’aide médical à mourir pour les personnes en souffrante phase terminale qui le demandent de manière volontaire. Avant de continuer, nous allons supposer que le malade en contexte rempli les multiples conditions pour recevoir
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