L'Etat est-il l'ennemi de la liberté ?

  Philosophie

L’ETAT EST-IL L’ENNEMI DE LA LIBERTE

On peut dire que l' Etat est l'ennemi de la liberté puisqu'il met en place des règles qui l'oppressent et l'empêchent de réaliser ses désirs. Cependant, l'Etat est naturel pour l'Homme et l'empêche de s'autodétruire, de plus il ne s'oppose pas la liberté intellectuelle de l'Homme.

Dissertation – Méthode de l’introduction :

L'introduction d'une dissertation ne doit pas être trop longue (10 à 15 lignes) et est censée s'adresser à un lecteur qui ignore le sujet.

Elle doit comporter :

1. une phrase d'accroche (amorce) ;
2. l'énoncé du sujet ;
3. la définition termes et reformulation du sujet ;
4. une problématique ;
5. l'annonce du plan.

1. Le plaisir accidentel est une joie éphémère en moi, ce qui signifie que si fondamentalement je ne change pas ma façon de penser alors le plaisir reste un temps. Sénèque explique que les stoïciens expliquent que ce qui viens du dehors s’appuient sur des bases fragiles il faut nécessairement citer le manuel. Ce qui ne dépend pas de moi est la santé, la richesse, l’opinion des autres et les honneurs. Sénèque explique qu’on ne peut pas placer son plaisir sur c’est bases fragiles, la maladie, la pauvreté, tout cela nous menace et est trop fragile. Cela ne dépend pas de nous mais de la société. Le but de la philosophie pour les anciens est de nous apprendre à être heureux, le bonheur pour les anciens c’est l’absence de trouble dans l’âme. C’est ce qu’il appelle l’ataraxie. Comment peut-on apprendre à vivre sans trouble, on peut apprendre à vivre sans trouble en apprenant à ne plus se plutôt que le monde, je ne peux rien sur le monde mais je peux tout sur moi-même, je peux me changer et faire ce que je veux de moi, je décide de ma volonté. Je suis maître de mes désirs et de ma volonté. Quesque je peux ressentir ? Quesque je peux éprouver en moi ? Je peux éprouver un contentement, je peux me sentir libre, c’est ce qui me rend heureux et serein. Il faut apprendre à aimer et apprécié à aimer ce qui est bon est important pour nous, c’est par cette acceptation que ce contentement de soit te donnera l’accès au bonheur véritable. Accepter d  ’être pauvre promet une joie plus durable que d’une richesse passable. Car il ne tient qu’à moi d’accepter d’être pauvre que de le devenir. La joie qui nait de soi est fidèle est solide, on y retrouve deux idée, fidèle veux dire qui restera et solide, incassable. La joie fidèle veut dire longévité et solide c’est sa résistance, sa dureté. On comprend que la fidélité est l’ataraxie et la solidité c’est l’inoxydable, l’incassable. Le sage est impermutable. Cette joie nous escorte sans cesse jusqu’à la fin. Tous les autres objets qui sont communément admirés, c’est bien désiré ne le sont qu’un temps car elles ne sont pas l’ataraxie, comme l’argent, les honneurs, la santé. Ce sont des joies accidentelles. L’Epicurisme est une philosophie hédonisme, c’est une partie qui explique que le but de la vie est de se faire plaisir ce qui est opposés à la vue des stoïcités car pour lui la joie est éphémère est opposés au bonheur.

1. Sénèque ne donne pas aux pauvres. 5 à 12 il ne fait pas l’apologie à la pauvreté ou au renoncement au bien matérielles.

Il ne condamne pas la richesse, il explique que l’on peut l’être mais on ne peut pas s’attacher à la parte de ce plaisir qui auras une influence néfaste du bonheur. Sénèque explique qu’il ne condamne pas l’argent, il reconnait le caractère agréable mais n’accepte pas la dépendance sans avantages sans plus. Cela ne peut pas rendre un homme heureux. Courir de plaisir en plaisir revient à remplir un tonneau percer, cela représente l’incitabilité de l’homme. L’amour est une joie extérieure cela ne dépend pas de toi donc il ne faut pas accorder à l’amour, trop de place, tout ce que tu aimes ne t’appartient pas, il faut se réjouir de ce qui t’as été donner et accorder.

1. L’homme est responsable de son malheur

Pour Sénèque il n’y a aucune cause objective de malheur dans ce monde.

L’ataraxie est la récompense de la sagesse et l’ataraxie est un état irréversible. Notre volonté peut vaincre la fortune. J’ai la volonté de rester indifférent à ce que le sort m’envoie. Je peux par la force de ma volonté déjouer les mauvais sorts.

Le thème de ce texte est liberté et bonheur.

Le problème philosophique de ce texte est : es qu’il dépend de nous d’être heureux. Le destin le dépend que de la façon dont j’interprète tout ce qui m’arrive.

La mort est inévitable mais ce qui dépend de moi c’est la signification que je donne à la mort.

Obligation = obéissance choisie

≠

Contrainte : obéissance subie

I - L’Etat l’ennemie de la liberté ?

Il n’y a pas de liberté sans loi.

1. L’Etat : un mal nécessaire

L'Etat apparaît donc comme le règne du droit, et le droit comme une limitation de ma liberté, donc, même si elle est mesurée au minimum, cette limitation constitue un obstacle à la liberté de l'individu.

L'exercice des libertés nécessite de séparer les trois grands pouvoirs qui régissent la société : le pouvoir judiciaire (qui rend la justice) ; le pouvoir législatif (qui débat et promulgue les lois) ; le pouvoir exécutif (qui prend des décisions).

L'État peut faire obstacle à ma liberté s'il a pour seule finalité la sécurité. Les citoyens courent alors le risque de se voir privés de toutes leurs libertés, au nom de la sécurité, et de devenir prisonniers d'un État autoritaire.

L'État protège les libertés publiques et, dans le même temps, il pose des limites pour que la liberté des uns n'entrave pas celle des autres. Le Conseil constitutionnel est le garant des libertés : il vérifie la conformité des lois à la Constitution.

Le pouvoir du chef lui est limité par la loi.

L’état n’est pas neutre pour Marx l’état est toujours au service de la classe dominante.

Les philosophes modernes se demandent comment se fait-il que les hommes obéissent à l'autorité de l'État. Ils essayent de trouver le fondement de l'activité de l'État « pourquoi » en fonction du fait qu'il n'y ait pas d'obéissance à la liberté et au fondement des lois alors tout le monde ferait tout ce qui leur plaît sans loi sans droit.

L'état social c'est où les hommes vivent historiquement avec un arbitre commun.

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